
La Route : Critique
Attendu au tournant, The Road l'était de par son statut d'adaptation d'un des romans les plus importants des années 2000.
Il y a maintenant plus de dix ans que le monde a explosé. Personne ne sait ce qui s'est passé. Ceux qui ont survécu se souviennent d'un gigantesque éclair aveuglant, et puis plus rien. Plus d'énergie, plus de végétation, plus de nourriture... Les derniers survivants rôdent dans un monde dévasté et couvert de cendre qui n'est plus que l'ombre de ce qu'il fut. C'est dans ce décor d'apocalypse qu'un père et son fils errent en poussant devant eux un caddie rempli d'objets hétéroclites - le peu qu'ils ont pu sauver et qu'ils doivent protéger. Ils sont sur leurs gardes, le danger guette. L'humanité est retournée à la barbarie. Alors qu'ils suivent une ancienne autoroute menant vers l'océan, le père se souvient de sa femme et le jeune garçon découvre les restes de ce qui fut la civilisation.
Attendu au tournant, The Road l'était de par son statut d'adaptation d'un des romans les plus importants des années 2000.
Le post-apocalyptique est à la mode et c'est inquiétant. Sauf dans le cas d'oeuvres comme Amazing Grace...
Comme ça ne lui a pas suffi de balancer Viggo Mortensen dans un monde post-apo, Hillcoat décide d'aller encore plus loin dans le cauchemar, mais il y a un souci