Critique : Eros plus massacre
Inspiré par la vie de Sakae
Osugi, un anarchiste pionnier de l'amour libre, Eros + Massacre se situe
à l'apogée des recherches plastiques menées par Yoshida
La vie de l'anarchiste Sakae Osugi, assassiné par la police en 1923, et ses relations avec trois femmes : Yasuko Hori, sa première épouse, Noé Ito, la seconde, qui mourut avec lui, et Itsuko Masaoka, alias "Mlle K", une militante des droits des femmes qui tenta de l'assassiner dans une maison de thé en 1916.
Parallèlement, deux étudiants d'aujourd'hui cherchent un sens aux théories politiques d'Osugi et à ses idées sur l'amour libre. Les personnages du passé et du présent se rencontrent, s'entrecroisent et dialoguent.
Inspiré par la vie de Sakae
Osugi, un anarchiste pionnier de l'amour libre, Eros + Massacre se situe
à l'apogée des recherches plastiques menées par Yoshida