Critique : L'Homme qui voulut être roi
L’adaptation cinématographique d’un livre a de tous
temps posée maintes difficultés et bien souvent le résultat s’est avéré mitigé.
Parmi les rares
À la fin du XIXème siècle, Rudyard Kipling, un jeune journaliste installé en Inde, fait la connaissance de Daniel Dravot et de Peachy Carnehan, deux anciens sergents de l'armée britannique à la recherche de la fortune et de la gloire. Après un long et périlleux voyage via l'Afghanistan, ces derniers pénètrent dans une contrée sauvage, le Kafristan, où des villageois sont en guerre contre une ville rivale. Tous deux s'engagent dans la bataille. Au cours des combats, Dravot reçoit une flèche en pleine poitrine, mais continue à lutter. En réalité, la flèche s'est plantée dans la cartouchière. Mais aux yeux du peuple, il passe pour un être surnaturel, le dieu Sikander, fils d'Alexandre le Grand. Après ce miracle supposé, Dravot est proclamé roi du Kafristan et bénéficie de la puissance absolue. Mais le pouvoir peut corrompre même le meilleur des hommes.
L’adaptation cinématographique d’un livre a de tous
temps posée maintes difficultés et bien souvent le résultat s’est avéré mitigé.
Parmi les rares
L'Homme qui voulut être roi sort pour les fêtes dans une impressionnante édition collector, disponible dans tous les commerces essentiels dès ce 16 décembre.