Critique : Barton Fink
Si l'expression
« film labyrinthique » est souvent utilisée à tort et à travers, elle
s'applique parfaitement à Barton
Fink, le quatrième film
New York 1941. Barton Fink, jeune dramaturge, rencontre le succès grâce à un roman populaire. Hollywood s'intéresse à lui et Wallace Beery le charge d'écrire des scénarios sur le monde des lutteurs. Fink va découvrir les mystères d'Hollywood, l'angoisse de la page blanche et un étrange voisin qui lui révélera quelques secrets sur l'art de l'existence...
Si l'expression
« film labyrinthique » est souvent utilisée à tort et à travers, elle
s'applique parfaitement à Barton
Fink, le quatrième film
Barton Fink des frères Coen, c'est l'histoire d'un scénariste en perte d'inspiration dans un thriller psychologique où réalité et fiction se confondent.
Ce fut l'une des grosses rumeurs de ces dernières années et un canular qui en a eu plus d'un, mais voilà, c'est sûr, le Dude ne reviendra pas.
Les frangins terribles du cinéma américain présidents, le Festival risque d'être funky cette année.