Critique : Arizona junior
Tribut des Coen à Chuck Jones et à la « screwball comedy » (ces comédies des années 30/40 au rythme très rapide et aux réparties cinglantes), Arizona Junior
Hi, impénitent cambrioleur de supermarchés, passe beaucoup de temps dans la prison de Tempe en Arizona. Il y rencontre un jour Ed, charmante femme policier, dont il tombe éperdument amoureux. Términé les braquages, il se marie et part pour l'usine qui ressemble somme toute à la prison. Hi et Ed voudraient un enfant mais Ed est stérile. Or un jour des quintuplés font la une de la presse locale. Hi et Ed décident d'en voler un. Sur cinq, cela ne se verra pas trop.
Tribut des Coen à Chuck Jones et à la « screwball comedy » (ces comédies des années 30/40 au rythme très rapide et aux réparties cinglantes), Arizona Junior
Plus de 30 ans avant Renfield, Nicolas Cage jouait déjà les vampires... ou presque dans Embrasse-moi vampire. Et c'est l'un de ses rôles les plus délirants.