
Bons baisers de Russie : critique sans le spectre d'un doute
Après James Bond 007 contre Dr. No, la saga touchait déjà les sommets dans Bons baisers de Russie, avec Sean Connery.
Venise, Kronsteen, grand champion d'échecs et membre du Spectre, a été chargé par Blofeld de rallumer la guerre froide entre l'Est et l'Ouest. Avec l'aide de Rosa Klebb, ex-chef des services secrets soviétiques, il a mis au point une stratégie qui passe par Istanbul et le vol du nouveau lecteur de déchiffrement soviétique.Persuadé que les britanniques vont mordre à l'hameçon qu'il leur tend et qu'ils vont envoyer sur place James Bond, il charge Klebb de recruter une jeune femme au sein du consulat russe, dont le rôle sera de séduire Bond, de l'aider à s'emparer du lecteur et de le livrer à un redoutable tueur, Red Grant.La première partie du plan de Kronsteen se déroule sans anicroche. Bond arrive à Istanbul et y rencontre Kerim Bey qui dirige les services de renseignements britanniques en Turquie. Il apprend ainsi que Tatiana Romanova est prête à passer à l'Ouest en leur donnant le lecteur.
Après James Bond 007 contre Dr. No, la saga touchait déjà les sommets dans Bons baisers de Russie, avec Sean Connery.
Jusqu'à ce que sorte Mourir peut Attendre, on révise ensemble les aventures de James Bond. Et cette semaine, c'est au tour de Bons Baisers de Russie.
Au lendemain de la disparition de l'acteur écossais, le monde du cinéma rend hommage à l'une de ses étoiles.
Sean Connery, le premier légendaire James Bond, et également papa d'Indiana Jones, est mort à 90 ans, le 30 octobre.