
Robocop : Critique
Déformé par deux suites, deux séries télévisées ainsi que de nombreux jeux et jouets pour enfants, l'empreinte de Verhoeven ne semble aujourd'hui qu'un logo,
À l'aube de l'an 2000, Détroit est, comme toujours dans cette sorte d'histoire, la proie du crime et de la corruption. Pour pallier ce terrible état, les services de police inventent une nouvelle arme infaillible, Robocop, mi-homme, mi-robot, policier électronique de chair et d'acier qui a pour mission de sauvegarder la tranquillité de la ville. Mais comme souvent, ce cyborg a aussi une âme.
Déformé par deux suites, deux séries télévisées ainsi que de nombreux jeux et jouets pour enfants, l'empreinte de Verhoeven ne semble aujourd'hui qu'un logo,
50% satire. 50 % action. 100% inégale. La saga Robocop, issue du film de Paul Verhoeven, mérite qu'on s'y attarde. On a pris l'excuse du classement.
Si la franchise culte de science-fiction a du mal à retrouver le chemin des salles, elle pourrait bientôt regagner le petit écran avec une série préquelle.
Toutes les grandes marques sont plus ou moins tentées de se payer une image à coup de symboles de la pop culture. KFC le prouve de fort sinistre manière.