
New-York 1997 : critique
À partir d'un scénario aussi simple qu'efficace, Carpenter signait avec New York 1997 un western urbain aux réminiscences cinéphiliques aujourd'hui évidentes.
1997, Manhattan est devenue une ville pénitentiaire. Un héros de guerre, condamné pour grand banditisme, doit y purger sa peine à vie, quand il se voit confier la mission d'aller récupérer le président des États-Unis dont l'avion, pris en otage par des terroristes, s'est écrasé. Il a vingt-quatre heures. Au-delà, un petit explosif judicieusement introduit dans sa veine jugulaire explosera. S'il réussit, il sera amnistié.
À partir d'un scénario aussi simple qu'efficace, Carpenter signait avec New York 1997 un western urbain aux réminiscences cinéphiliques aujourd'hui évidentes.
Depuis que James Gunn a officialisé la présence de Kurt Russell au casting des Gardiens de la Galaxie 2, les esprits de milliers de cinéphiles s’échauffent.
John Carpenter, le réalisateur du mythique New-York 1997, a avoué que son personnage Snake Plissken mériterait bien un retour dans une ou deux suites.
Carpenter n'a jamais été autant à la mode et les remakes et reboots de ses films se répandent comme une traînée de poudre dans le cinéma actuel.