
I Feel Good : critique croquignolesque
Après Saint-Amour, les papas du Groland nous reviennent pour une fable acide sur la mystique libérale, portée par un Jean Dujardin plus éclatant que jamais.
Monique dirige une communauté Emmaüs près de Pau. Après plusieurs années d’absence, elle voit débarquer son frère, Jacques, un bon à rien qui n’a qu’une obsession : trouver l’idée qui le rendra riche. Plus que des retrouvailles familiales, ce sont deux visions du monde qui s’affrontent.
Après Saint-Amour, les papas du Groland nous reviennent pour une fable acide sur la mystique libérale, portée par un Jean Dujardin plus éclatant que jamais.
Avec I Feel Good, Delépine et Kervern s'en prennent à la figure de l'entrepreneur tout puissant. On revient sur un cinéma hilarant mais surtout politique.
Aujourd’hui débute la 7e édition du FIFIGROT, le Festival International du Film Grolandais de Toulouse. Et vous seriez bien inspirés d’y faire un tour.