Zelda : les 10 Meilleurs Jeux de la saga culte
Breath of the Wild, Ocarina of Time, Tears of the Kingdom, The Legend of Zelda... Quels sont les meilleurs jeux vidéo de la saga culte Zelda ?
Zelda, c'est plus qu'une saga de jeux vidéo cultes. C'est un monument qui a commencé en 1986 grâce à Shigeru Miyamoto et Takashi Tezuka. Depuis, il y a eu une vingtaine de jeux (entre suites officielles, remakes et compagnie), Zelda s'est vendu à environ 100 millions d'exemplaires dans le monde, et Link est plus que jamais une icône du jeu vidéo.
Parce qu'on aime les défis kamikazes, on a décidé de lister les 10 meilleurs jeux de la saga Zelda, par ordre chronologique. Pour notre santé mentale, on a mis de côté les remakes, remaster ou portages, et chaque titre sera jugé vis-à-vis de sa console d'origine.
Avertissement : personne ne sera d'accord, c'est une tragédie, comment va t-on survivre ?
Tears of the Kingdom va-t-il bouleverser nos certitudes ?
THE LEGEND OF ZELDA : A LINK TO THE PAST
Sortie : 1991
Disponible sur : SuperNes
Du bon écran d'accueil en 2D qui a de la gueule
C'est lequel déjà ? The Legend of Zelda: A Link to the Past est l'opus de The Legend of Zelda de la Super Nintendo. Débarqué en 1991, il est une vitrine pour la nouvelle console Nintendo, deux fois plus puissante que sa prédécesseure. Il fait suite à The Adventure of Link, un titre un peu sans âme (qui ressemble surtout à un Castlevania en moins fun et avec une bande-son moins cool) qui verse dans la plateforme 2D à l'horizontale, la tendance à l'époque de sa sortie (1987).
Le titre inaugure ce qui a été nommé a posteriori la timeline de la Défaite. Au sein de cette dernière, Link n'est pas parvenu à défaire Ganondorf à la fin d'Ocarina of Time, et ce dernier a mis la main sur la Triforce. Il a ensuite été envoyé dans un monde des ténèbres par sept sages, mais le sorcier Agahnim, son double maléfique, parvint à s'emparer du pouvoir en Hyrule. Il envoie alors les sept sages parmi lesquelles Zelda dans le monde des ténèbres.
La fausse 3D de Nintendo
Pourquoi c'est le plus mythique ? Si Zelda vous évoque un RPG en 2D, des balades champêtres, une bande-son à tomber par terre, des grottes avec des fées ou des vieillards loquaces et des donjons, vous êtes tombés sur la quintessence de la franchise. Si Link's Awakening est le millésime de la Game Boy, A Link to the Past est celui de la Super Nintendo. Mais il ne se contente pas d'être une amélioration significative du premier titre de la franchise, il est gorgé d'une ambition pleinement réalisée.
En tant que RPG, le titre est coriace. La difficulté est présente, mais il est possible de la moduler grâce aux nombreux objets qui vous aideront en combat (et pour vous déplacer, merci les bottes de Pégase). À l'épée comme un gladiateur, ou au contraire à l'arc, au bâton magique, avec une cape d'invisibilité ou un grappin, il est possible de combattre avec ses muscles, mais aussi avec sa tête. De la même façon, les joueurs les plus curieux parviendront à mettre la main sur de nombreux quarts de coeurs, ou des améliorations significatives de leur équipement. Enfin, la bande-son est l'une des meilleures de la licence sans hésitation.
"Oulà, j'ai encore succombé à ma psychose des pots"
Du côté des nouveautés de la cartouche, le jeu peut se targuer d'avoir un plot twist massif apparaissant après quelques heures de jeu. Le monde dans lequel Link évoluait jusqu'à présent possède sa copie dans le monde des ténèbres, et la carte séparée en huit zones (Château d'Hyrule, Bois perdus, Village Cocorico, Palais de l'est, Grands marais, Désert du mystère, Lac Hylia et Montagne de la mort) garde la même structure dans sa version dark. Le Château d'Hyrule devient ainsi la Pyramide du pouvoir, là où le Désert du mystère devient le Marais des démons.
Grâce au Miroir magique, le passage d'un monde à l'autre n'est pas trop pénible, et demande au joueur de réfléchir dans ses déplacements. Si le passage d'une zone à l'autre est plutôt aisé dans le monde de départ, la progression est plus pénible dans le monde des ténèbres. C'est un excellent prétexte à l'exploration, puisque certains passages semblaient jusque là impraticables.
Du bon donjon comme on les aime
S'il fallait toutefois mitiger les apports de cet opus, on objectera que le joueur est trop guidé, et qu'il est déplaisant dans un monde si vaste (doublement vaste, en considérant le monde des ténèbres) de devoir suivre un ordre précis de résolution des donjons. Le level design est trop restrictif et on aurait aimé plus de liberté pour ne pas suivre un pattern précis afin d'éviter les situations telles que "je ne peux pas faire la Misery Mire parce que je n'ai pas obtenu les Moufles du Titan dans le Repaire des Bandits".
S'il peut sembler logique de vaincre le palais de glace grâce au Bâton de feu obtenu précédemment, il est parfois décourageant de se rendre compte qu'un objet n'est nécessaire que pour entrer dans un donjon, et nullement dans sa résolution même. De la même façon, le scénario aurait pu permettre de donner un fondement à cette linéarité de la progression dans le monde des ténèbres. Toutefois, A Link to the Past demeure un excellent titre qui parvient à encapsuler toute la richesse 2D de la franchise.
THE LEGEND OF ZELDA : LINK'S AWAKENING
Sortie : 1993
Disponible sur : Gameboy
C'est lequel déjà ? En pleine régate pour rejoindre Hyrule, Link est pris dans une tempête et échoue sur l’île Cocolint. Il apprend rapidement qu’il doit retrouver le légendaire Poisson-Rêve pour pouvoir quitter l’île. Pour ce faire, il faudra récupérer les huit instruments des sirènes, afin de jouer la mélodie qui pourra tirer de son sommeil le Poisson-Rêve.
Dans un délire proche de la Twilight Zone, il s’avère que tous les habitants de l’île, et l’île elle-même, ne sont en fait qu’une création imaginaire du Poisson-Rêve. Les créatures agressives qui attaquent Link ne sont donc que des protecteurs qui veulent empêcher le héros de détruire ce monde illusoire. Link doit alors prendre une décision : réveiller la créature, détruire ce monde et quitter l’île, ou y rester et y errer à tout jamais.
Quand Link rend visite au monde de Mario
Pourquoi c'est le plus halluciné ? The Legend of Zelda : Link's Awakening est considéré par beaucoup comme la quintessence des Zelda 2D, et ce, à juste titre. Premier jeu de la licence à débarquer sur console portable, il constitue un exploit technique et ludique à part entière. La carte à explorer est énorme, et le titre propose une multitude de quêtes à accomplir et de personnages à rencontrer, tous avec des personnalités fortes. Un exploit pour un soft Game Boy.
Le jeu est l’un des rares à ne faire aucune mention d’Hyrule, de la Princesse Zelda ou de Ganondorf, mis à part la rapide mention de Zelda et du Royaume d'Hyrule dans l’introduction. Link’s Awakening se démarque du reste de la licence également par son ton très particulier, très imprégné d’un humour décalé, où les personnages n‘hésitent pas à briser le quatrième mur, comme les enfants du village des mouettes, et où les caméos sont légion.
Du côté expérience de jeu, c’est du lourd que Nintendo a réservé aux joueurs. De nombreux mini-jeux et quêtes secondaires sont parsemés à travers le monde. Le jeu est conçu avec une vue du dessus, mais offre des passages en vue de côté avec un splendide scrolling horizontal, hommage à Zelda 2 : The Adventure of Link sur NES.
Cet épisode a atteint un tel statut culte auprès des fans, qu’il a fait l’objet de deux remakes. Un premier offrant une version colorisée sur Game Boy Color en 1998 ; cinq ans après la sortie de l‘original, Link’s Awakening DX. Puis un splendide remake sur Nintendo Switch en 2019. Un soft de toute beauté à la direction artistique évoquant des mini-figurines Playmobil.
THE LEGEND OF ZELDA : OCARINA OF TIME
Sorties : 1998
Disponibles sur : Nintendo 64
Le pauvre Jabu-jabu...
C'est lequel déjà ? Jusqu'ici, on a parlé de la chronologie des jeux Zelda, apparue en 2011 dans l'ouvrage Hyrule Historia (parfois contestable dans son entreprise risquée de réunir l'entièreté de la franchise dans une seule timeline). Au sein de cette dernière, trois arcs se forment à partir de The Legend of Zelda: Ocarina of Time. C'est donc le point central du système nerveux de l'univers de la franchise.
Souvent réputé pour avoir une trame classique (Link doit sauver Zelda des griffes de Ganondorf), il n'en est rien. Certes, Link doit en effet sauver la princesse Zelda, qui lui apparaît sous les traits de Sheik dans ce qui est l'un des plot twists les plus célèbres de l'histoire du jeu vidéo. Mais en réalité, le jeu parle en sous-texte de la culture shintoïste et de son rapport à l'activité de l'homme. Ganon n'y est pas un monstre, mais un homme parvenu à se hisser jusqu'au pouvoir, qui a corrompu la nature, tuant l'Arbre Mojo, introduisant Barinade dans Jabu-Jabu et gelant les Zoras.
Un date Tinder comme un autre
Pourquoi c'est le plus mature ? Aujourd'hui, il est monnaie courante de parler d'Ocarina of Time comme de l'un des meilleurs jeux. Pas l'un des meilleurs jeux Zelda, pas l'un des meilleurs jeux de la Nintendo 64, mais l'un des meilleurs jeux tout court. En 1998, pourtant, il est difficile de s'attendre à un tel exploit. Certes, Mario a déjà eu droit à un passage en 3D l'année précédente, qui s'est révélé être une réussite absolue (au prix d'un changement de direction vers un titre résolument plus tourné vers l'exploration pour le plombier moustachu), mais il peut sembler difficile de retranscrire l'ambiance de Zelda, ses donjons, ses tableaux, ses grottes, bref, ses environnements, taillés pour la 2D.
La Nintendo 64 n'a pas un historique très positif avec la 3D, et la première problématique est celle de la caméra. Si certains jeux ont esquivé les problèmes (Resident Evil a opté pour des plans fixes, tandis que Metal Gear Solid propose une vue de dessus similaire aux us et coutumes de la 2D). À ce sujet, Ocarina of Time ne s'est pas contenté de remplir le cahier des charges, puisque le titre révolutionne la gestion de la caméra.
Le réchauffement climatique a depuis tué l'arbre Mojo
Cette dernière tend à se replacer dans le dos de Link de façon très pertinente, et lors des duels à l'épée (qui remplacent les tableaux bourrés de monstres qui vous foncent dessus), il est possible de verrouiller la caméra sur son adversaire, changeant le format de l'image par la même occasion. Au contraire, lorsque vous visez avec votre lance-pierre, la caméra opte pour une vue à la première personne. D'ailleurs, le titre prend le parti de réduire vos options de combat, au contraire de l'inventaire gargantuesque de A Link to the Past. Toutefois, avec un bouclier finalement utile, et un arsenal de coups plutôt bien garni, les phases de combat sont une pépite.
Difficile de s'ennuyer, puisque le jeu regorge de mini-jeux, de tir à l'arc à dos de cheval, au lance-pierre, de reconnaissance musicale, du lancer de cocottes, dont l'objet est souvent d'offrir au joueur des améliorations pas obligatoires, mais appréciables, bref, du confort. Il est articulé autour de la plaine d'Hyrule, qu'il est possible d'arpenter à cheval avec votre fidèle jument, Epona dans la deuxième partie du jeu.
La sieste, un élément narratif clef dans l'univers de Zelda
En effet, une fois n'est pas coutume, et à l'instar de la proposition de A Link to the Past, le jeu est scindé en deux parties. La première vous voit incarner Link enfant, au départ du village Kokiri dans un enthousiasme total. Les PNJ sont bizarres et cartoonesques, et il sera possible au sein de la place du marché du village Cocorico de voir la joie des habitants.
Une fois adulte et après votre passage au temple du temps, vous constaterez au contraire qu'Hyrule est en ruine, et qu'un ciel crépusculaire veille sur les ruines désormais vides de toute vie humaine. Cette partie voit d'ailleurs sa difficulté augmenter, mais aussi vos compétences au combat croître. C'est alors une débauche de direction artistique, dont on retiendra le ventre de Jabu-Jabu, ou encore le duel conte les sorcières jumelles dont la bande-son et ses deux flûtes se répondant relèvent du génie.
Parce que nul n'est tenu à l'impossible, on se souviendra toutefois de ce qui est devenu l'un des meilleurs memes de l'univers de Zelda, le "Hey, listen" de Navi, pas franchement utile et absolument agaçant pour donner des indications au joueur (et qui sera amélioré dans Majora's Mask). On pourra aussi s'interroger quant à des pics de difficulté dont le plus connu est évidemment le temple de l'eau, plus complexe que les donjons suivants.
THE LEGEND OF ZELDA : MAJORA'S MARK
Sortie : 2000
Disponible sur : Nintendo 64
C'est lequel déjà ? Link a rendu l’épée légendaire à la fin d’Ocarina of Time, a dénoncé Ganondorf à la Princesse Zelda, changeant l'avenir. Il décide de quitter le Royaume pour tenter de retrouver son amie Navi. Mais il se fait agresser par Skull Kid, qui lui vole son ocarina. Après une poursuite qui se finit au fond d’un ravin, Skull Kid transforme Link en Peste Mojo.
Il comprend rapidement qu’il n’est plus à Hyrule, mais à Termina, un monde parallèle. Alors que tous les habitants de Bourg-Clocher (d’autres versions des habitants d’Hyrule) s’affairent à préparer le Carnaval du Temps, une énorme Lune approche et pourrait s’écraser sur Terre et détruire le monde. Il n’a que 72 heures pour récupérer le masque de Skull Kid et empêcher la fin du monde. Pour réussir, il faudra libérer les quatre Géants de Termina, et détruire le Masque de Majora.
Link, plus fort que Jim Carrey
Pourquoi c'est le plus dark ? The Legend of Zelda: Majora's Mask fait directement suite à Ocarina of Time. Comment faire pour succéder à un tel monstre vidéoludique ? Comment répondre à des fans qui attendent un Ocarina of Time 2 désespérément ? Deux ans après OoT, Majora’s Mask débarquait sur Nintendo 64, et malgré ses grandes qualités et ses prises de risques, il devenait l’un des épisodes qui divisait le plus la fanbase.
Majora’s Mask est à la licence Zelda ce que l’Empire Contre-attaque est à Star Wars. Son ton est sombre, glauque, presque nihiliste, à des années-lumière de l’ambiance épique et héroïque de ses aînés. Preuve du fait qu’il est à contre-courant si besoin est : ces moments où Link hurle de douleur en mettant un masque. Des séquences qui ont certainement dû traumatiser toute une génération de joueur.
Une tronche bien flippante pour un jeu Nintendo
Une partie du public a reproché à Majora's Mask son ambiance trop pessimiste, aux antipodes de ce que propose habituellement la franchise, mais aussi sa progression en dents de scie, provoquée par la boucle temporelle imposée, forçant à une certaine redite dans les séquences de gameplay et narratives. Qui plus est, dans cet étrange périple, Link n’évolue pas vraiment. Une partie des fans regrettaient de ne pas pouvoir jouer avec le link adulte de OoT.
Malgré cela, aujourd’hui encore, Majora’s Mask reste un jeu exceptionnel. Graphiquement impeccable, il est l'un des plus beaux titres de la Nintendo 64. Cet opus est aussi très inventif au niveau gameplay, avec des masques de pouvoir qui apportaient autant de nouvelles mécaniques de jeu. Il ne peut être reproché à Majora que son petit nombre de donjons (seulement quatre). Majora’s Mask est à contre-courant de la saga Zelda, une magnifique exception telle une éclipse de Soleil qui nimbe le monde de son obscurité.
THE LEGEND OF ZELDA : THE WIND WAKER
Sorties : 2003
Disponibles sur : GameCube
Le remaster est terriblement charmant
C'est lequel déjà ? C'est celui qui suit Ocarina of Time, et qui explore la timeline où Link demeure adulte. Toutefois, lorsque Ganondorf se libère du sceau l'emprisonnant, le héros de la légende reste quant à lui introuvable. Malgré la disparition d'Hyrule, la légende du Héros du Temps est dans toutes les mémoires, et chaque garçon, à ses douze ans, doit porter la tunique verte et le bouclier, pour organiser la transmission de ce mythe.
C'est aussi le cas du jeune Link, dont la soeur est enlevée le jour fatidique par un gigantesque oiseau. En comptant sur l'aide de Tetra, une jeune pirate, Link va partir à la recherche de sa soeur, et pourrait bien calmer les ardeurs du maléfique Ganondorf, désireux de retrouver, une fois n'est pas coutume, la Triforce.
Plus d'eau que dans Pokémon Rubis et Saphir
Pourquoi c'est le plus feel good ? Arrivé juste après Ocarina of Time et Majora's Mask, deux des opus les plus matures et glauques de la franchise, The Legend of Zelda: The Wind Waker est une grande respiration. Des graphismes très cartoonesques, du cel shading à gogo, Link n'a jamais été aussi expressif, jusque dans son langage corporel.
Lors de sa sortie, sa direction artistique cartoonesque a divisé la critique et les fans, a fortiori après des opus beaucoup plus sombres. Il rompt également avec la tradition d'une Hyrule terrestre en proposant une carte largement aquatique, qu'il sera possible d'arpenter très tôt dans l'aventure, augurant ainsi une nouvelle façon de faire de l'open world, réutilisée dans Phantom Hourglass sur Nintendo DS.
S'il récupère presque entièrement le système de combat de ses excellents prédécesseurs (en y ajoutant quelques combos et la possibilité d'esquiver certains coups), l'opus permet désormais à Link de se cacher dans des tonneaux (une référence à Metal Gear Solid qui ne sert pas tant que ça), de ramper, de se balancer à des cordes, ou encore de se coller à un mur. Le premier donjon du jeu enseigne d'ailleurs aux joueurs à user de ces capacités dans ce qui ressemble à une longue séquence d'infiltration.
Le cartoon cel shadé a très bien vieilli (même s'il s'agit ici de son remaster HD)
Au sein de son bateau Lion Rouge, le contrôleur de Link dispose de quelques mélodies pour influer sur les éléments. La plus utile permet de choisir la direction du vent pour pousser l'embarcation le plus loin possible. Le joueur est d'ailleurs laissé comme seul juge de sa progression dans ce qui apparaît comme une leçon de développement. Modèle de fluidité absolue, le titre a une gestion des caméras d'une fluidité exemplaire (qu'il s'agisse de la gestion manuelle ou automatique de cette dernière).
Finalement, cet opus flamboyant dispose aussi de quelques faiblesses. S'il faut absolument avoir le pied marin pour ne pas se noyer dans toute cette flotte, on pourra objecter qu'il manque quelques donjons. Le jeu s'essouffle aussi après sa première moitié, pourtant menée d'une main de maître. Cela n'empêche toutefois pas Wind Waker d'être un titre flamboyant, plutôt innovant (même s'il s'agit souvent de détails), d'une difficulté parfaitement dosée, mais surtout un pari risqué qui réalise pleinement ses ambitions.
19/05/2023 à 18:28
Pour ma part j'ai joué à Link to the past puis à Tears of kingdom.
Entre temps les seuls jeux Nintendo que j'ai joué c'est Mario kart.
Concernant mon avis sur les deux Zelda que j'ai joué, le premier je ne m'en souviens pas. Je sais juste que je l'ai fini mais j'ai aucun souvenir. Je devais avoir 10-11 ans.
Pour Totk, je viens à peine de commencer et comme je ne suis pas familier avec la saga, j'ai vraiment du mal. J'avance au ralenti.
19/05/2023 à 17:52
Wand of gamelon number one !
Un zelda féministe avant l'heure (zelda en est l'héroïne) avec un vrai scénario, une animation au top, un vaste monde à explorer (breath of the wild peut se rhabiller), du danger (celui de se péter le pouce sur la télécommande).
Tellement triste qu'il ne soit même pas dans votre top :)
19/05/2023 à 15:00
Ma découverte à l'époque de A link to the past reste un de mes plus beaux souvenirs vidéoludiques ever ! Ce jeu est une merveille que j'ai fait maintes et maintes fois !
19/05/2023 à 12:08
Vous mettez Skyward Swird et par A link Between worlds ?
Fausse note, là...
19/05/2023 à 11:05
J’avais 16 ans que Link to the past est sorti. 2-3 semaines sans faire mes devoirs… mon plus grand souvenir video-ludique. Reste que Ocarina of time lui est supérieur encore même si ma passion reste sur la super nintendo (la meilleur console de tous les temps pour moi) moins accroché sur les suivant (en dehors du formidable episode gameboy)
18/05/2023 à 21:22
Personnellement, je pense que a link between World sur 3DS devrait faire partie de ce top. Le meilleur Zelda '' à l'ancienne" sans aucun doute.
18/05/2023 à 20:54
Ocarina of Time, mon Zelda préféré, je l'ai fini un nombre incalculable de fois. Par contre, je n'ai jamais réussi à accroché à sa suite Majora's Mask.
Je n'ai pas jouer à tous les épisodes, mais cela reste une de mes licence Nintendo favorite avec Star Fox & Metroid
14/01/2023 à 08:36
Cool,
Perso, ocarina of time marque pour moi la fin de zelda. Injouable à sa sortie, c'était vraiment dégueulasse. La 3D était dur pur l'époque et je n'y ai jamais joué plus de 3h, puis ces fées à la con qui font office de didacticiel... pfff la purge. Ce jeu fait parti des éternels reboot style je lance le jeu, ça me gave et je le relance des mois plus tard, ne comprend plus où j'en suis et recommence etc etc, vous savez, ce genre de jeu quoi ...
Le passage 3D a pété le game personnellement. Chose que Wind waker a su redresser, j'avais enfin l'impression de jouer à zelda...
Pareil pour BOTW, une réussite totale et immersive !
Dommage de ne pas mentionner le jeu 3DS a link between world qui est aussi fabuleux avec ces innovations de game play.
Les jeux 2D avaient ce coté "casse tête" et vu d'ensemble que je n'ai plus retrouvé dans les jeux 3D (sauf WW et BOTW). Pour moi les jeux 3D sont des jeux de plate forme lambda avec l'univers visuel de zelda, link ou autre personnage c'est du pareil au même vu que l'histoire est quand même assez naze dans les zelda en général, j'y joue pour l'aventure et les énigmes.
Rabat joie powa
28/07/2022 à 14:23
Ghirahim est juste un des meilleurs antagonistes mais ok...
Et l'avatar du néant pas mémorable ? Vous vivez dans quelle dimensions parallèle au juste.
Vous avez Vraiment des goût de chiottes.
25/07/2022 à 13:02
Mais vous êtes fous chez EL! On ne classe pas les Zeldas au risque de s'attirer les foudres de pleins de gens. Une saga de plus de 30 ans, c'est 3 générations qui ont vécu des moments inoubliables sur leur(s) Zelda(s).