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Alors qu’Independence Day : Resurgence vient de sortir aux Etats-Unis (et ça ne se passe pas très bien), Roland Emmerich est revenu sur le phénomène provoqué par le premier film.
Plus précisément, il a eu l’occasion de dire ce que tout le monde peut constater, à savoir que les blockbusters super héroïques ont largement pillé l’esthétique de la destruction urbaine massivement popularisée par Independence Day premier du nom. En effet, difficile de nier que Disney et Warner (pour ne citer qu’eux, ont largement repris ce que la presse anglo-saxonne appelle désormais le « destruction porn ».
« Quand j’ai vu ces films Marvel ou DC, je me suis dit « mon dieu, c’est familier, pourquoi Superman détruit-il autant d’immeubles ? »
En fait Steven Spielberg m’avait prévenu que cela arriverait. Il m’avait mis en garde et dit qu’Independence Day serait le film le plus copié des 20 années à venir. »
Pour autant, Roland Emmerich n’a jamais désiré mettre en scène des aventures de super-héros.
« J’ai grandi en Allemagne, et on n’est pas fans de super-héros. Là-bas ils ne marchent pas aussi bien que dans le reste du monde. Et puis je sentais aussi que je voulais faire mes propres films, je me vante de réaliser des films originaux. Et même Independence Day : Resurgence est plutôt original, parce que c’est plus une continuation qu’une suite. »
les champions du râlement sont de sortie…
» c’est plus une continuation qu’une suite »
hmmmmm, OK.
Désolé mais a coté de la débilité abyssale de tous ces films de super héros crétins en combinaison latex , meme les films d’Emmerich passent pour des films d’auteurs !
Des films originaux lol on parle bien du même Roland Emmerich ? Celui dans lequel on assiste immanquablement à chaque fois à la destruction du monde et des grandes institutions/monuments américains ? Ah nan c’est vrai y’avait Stargate (erreur de parcours sans doute, même si on avait quand même bien la destruction de la grande pyramide à la fin).
Ouais, on sent qu’il est bien aigri le vieux ! Apparement, spielberg devrais se reconvertir en « prophète cinéaste »…