Le Hobbit 3 : Ian McKellen n'avait "aucune idée" de ce qu'il faisait pendant le tournage

Simon Riaux | 5 décembre 2014
Simon Riaux | 5 décembre 2014

Connu pour son franc parler, Ian McKellen, interprète de Gandalf a révélé quelques anecdotes de tournage croustillantes. Comme quoi on ne devait pas s’ennuyer tous les jours sur le plateau du Hobbit

"Ce qu’il y a de bien dans le fait d’avoir enfin vu le film, c’est de pouvoir comprendre l’histoire – je n’avais aucune idée de ce que j’étais en train de faire pendant le tournage."

Le comédien a encore enfoncé le clou sur le plateau du Graham Norton Show, histoire de nous faire comprendre que vraiment, les batailles n’étaient pas son truc.

"Elles sont fantastiques, mais ne me demandez pas comment elles sont réalisées, parce que je ne comprends pas vraiment ça".

 

Avec la malice qui le caractérise, McKellen a également fait savoir qu’il n’avait que modérément apprécié la multiplication des fonds verts dans la dernière trilogie de Peter Jackson et sur Le Hobbit : La Bataille des Cinq Armées.

"Une partie du tournage était vraiment excitante, comme lorsqu’on a tourné au sommet d’une montagne. Mais tourner devant un fond vert est la partie la plus misérable du tournage. 

A la fin du premier jour, j’ai versé une larme et me suis tenu la tête dans la main en disant : « Ce n’est pas pour ça que je suis devenu comédien ». J’avais oublié que les micros étaient encore allumés."

Voilà qui a dû mettre du mettre toute l’équipe de bonne humeur.

Tout savoir sur Le Hobbit : La Bataille des cinq armées

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commentaires
Blderiz
06/12/2014 à 08:22

Rien ne vaut la beauté des décors naturels, je suis assez d'accord...

maxleresistant
05/12/2014 à 15:57

Je pense qu'il serait temps de faire machine arrière avec la trop grande utilisation des fonds verts et des CGI.
Ce sont d'excellents outils, mais j'ai l'impression qu'ils sont trop souvent utiliser par des envies de démesure mal placées ou par simple paresse.

Comme tout outil de production cinématographique, ils doivent toujours être au service de l'histoire, et pas l'inverse.