Films

Le film-choc La Secte sans nom : néo-nazis et enfants torturés, par le réalisateur de REC

Par Déborah Lechner
22 mai 2024
MAJ : 13 novembre 2024
La Secte sans nom : photo

Si [REC] reste encore aujourd'hui son oeuvre la plus connue, Jaume Balaguero a plus d'une pépite dans sa filmographie, à commencer par La Secte sans nom

Avant de se faire connaître auprès du grand public international avec le premier [REC] (coréalisé avec Paco Plaza), le catalan Jaume Balagueró s'était déjà fait remarquer dans le cinéma d'horreur avec les très beaux Darkness et Fragile, ce dernier lui ayant même permis de remporter le prix du meilleur réalisateur au festival de Barcelone en 2006. On aurait cependant tort de laisser de côté son premier long-métrage, La Secte sans nom, un thriller aux qualités indéniables malgré des limites évidentes

S'il a reçu des critiques mitigées à sa sortie, certains y voyant un hommage trop appuyé à Seven et au Silence des Agneaux, ce premier essai au cinéma porte au contraire les sujets de prédilection et l'assurance de son créateur, devenu depuis une autre référence dans le cinéma d'horreur espagnol. 

La Secte sans nom : photo Après avoir regardé La Secte sans nom

 

la fin DE L'INNOCENCE 

La Secte sans nom est le premier long-métrage d'un réalisateur en début de trentaine, qui a dû se contenter d'un budget de 900 000 dollars pour adapter le roman éponyme de Ramsey Campbell. De fait, on pourrait penser que Jaume Balaguero était à ce moment-là en pleine expérimentation et recherche d'identité, aussi bien visuelle que thématique.

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sylvinception

Avis à ceux qui ne l’ont toujours pas vu : gros traumatisme à prévoir concernant le twist final.

steve

ah mais les 3 premiers films du monsieur, ça envoie sec !
Moins fan du reste dont « Rec » oui mais bof….

Ray Peterson

J’ai toujours aimé Balaguero. Sa belle décennie de 1999 – 2009 était vraiment chouette. La « nouvelle vague fantastique ibérique » amorcée entre autre par Almenabar annonçait du lourd.

Mais, à par un « Malveillance » en 2011 (Mientras duermes) assez glauque mais finement écrit et un « Muse » sympathique mais bof bof (Christopher Lloyd et Joanne Whalley en guest de luxe) ben j’attends le retour du Monsieur en grande forme.
Wait & See.

Ben01

Vu au ciné en son temps… un choc nihiliste et bien glauque… la recherche de la douleur totale et intime. Trop tordu!

ZakmacK

Je l’avais vu au cinéma à l’époque, mais ça ne m’avait pas laissé un grand souvenir. Peut-être qu’il faut lui redonner une chance.