Si [REC] reste encore aujourd’hui son oeuvre la plus connue, Jaume Balaguero a plus d’une pépite dans sa filmographie, à commencer par La Secte sans nom.
Avant de se faire connaître auprès du grand public international avec le premier [REC] (coréalisé avec Paco Plaza), le catalan Jaume Balagueró s’était déjà fait remarquer dans le cinéma d’horreur avec les très beaux Darkness et Fragile, ce dernier lui ayant même permis de remporter le prix du meilleur réalisateur au festival de Barcelone en 2006. On aurait cependant tort de laisser de côté son premier long-métrage, La Secte sans nom, un thriller aux qualités indéniables malgré des limites évidentes.
Ce contenu est réservé aux abonnés
Déjà abonné ? connectez vous ou inscrivez vous
Avis à ceux qui ne l’ont toujours pas vu : gros traumatisme à prévoir concernant le twist final.
ah mais les 3 premiers films du monsieur, ça envoie sec !
Moins fan du reste dont « Rec » oui mais bof….
J’ai toujours aimé Balaguero. Sa belle décennie de 1999 – 2009 était vraiment chouette. La « nouvelle vague fantastique ibérique » amorcée entre autre par Almenabar annonçait du lourd.
Mais, à par un « Malveillance » en 2011 (Mientras duermes) assez glauque mais finement écrit et un « Muse » sympathique mais bof bof (Christopher Lloyd et Joanne Whalley en guest de luxe) ben j’attends le retour du Monsieur en grande forme.
Wait & See.
Vu au ciné en son temps… un choc nihiliste et bien glauque… la recherche de la douleur totale et intime. Trop tordu!
Je l’avais vu au cinéma à l’époque, mais ça ne m’avait pas laissé un grand souvenir. Peut-être qu’il faut lui redonner une chance.