Critique : Happy feet
Huit ans après Babe, le cochon dans la ville (il avait également coécrit le scénario du premier en 1995 sans toutefois le mettre en images), le réalisateur
Un manchot de l'Antarctique n'arrivera jamais à rien s'il ne sait pas chanter, et le pauvre Mumble est sans conteste le pire chanteur du monde. Son talent à lui, c'est... les claquettes, qu'il pratique en virtuose, avec une ardeur confondante.Bien que sa maman, Norma Jean, trouve ce don "tout à fait charmant", son père, Memphis, juge que "ça ne fait vraiment pas pingouin". Tous deux savent aussi que leur rejeton ne trouvera l'âme soeur que le jour où il saura pousser son "chant d'amour". Le hasard fait bien les choses : Gloria, la seule et unique amie de notre héros, est la meilleure chanteuse de la région. Mumble et elle sont copains depuis toujours, bien que cette gracieuse créature ait encore du mal à accepter son étrange "anomalie".Banni de la tribu, Mumble se lie avec les Amigos de Terre Adélie, un groupe latino exubérant, mené par Ramon...
Huit ans après Babe, le cochon dans la ville (il avait également coécrit le scénario du premier en 1995 sans toutefois le mettre en images), le réalisateur
Souvent cantonné à Mad Max, George Miller a aussi fait des merveilles avec deux films d'animation musicaux : les Happy Feet.
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