Meurs un autre jour : critique qui brosse l'âne
Dernier James Bond de l'ère Pierce Brosnan, Meurs un autre jour est un feu d'artifice de n'importe quoi.
Une opération secrète, menée en Corée du Nord par James Bond et deux de ses hommes, est compromise par un traître non identifié. S'ensuit une course-poursuite en hovercraft au cours de laquelle le colonel nord-coréen Moon trouve la mort et son lieutenant, Zao, est grièvement blessé. James Bond est quant à lui capturé et jeté dans une prison militaire. Après quelques mois de détention, ce dernier est libéré à l'occasion d'un échange de prisonniers organisé par Falco, le directeur de la National Security Agency. Démis de ses fonctions, l'ancien agent secret est décidé à retrouver Zao et à démasquer le traître qui a entraîné sa chute. Sa quête, riche en rebondissements, l'amènera à faire la rencontre de la belle et mystérieuse Jinx et de Gustav Graves, un mégalomaniaque propriétaire d'un somptueux palais de glace islandais et d'une arme d'une puissance insoupçonnée.
Dernier James Bond de l'ère Pierce Brosnan, Meurs un autre jour est un feu d'artifice de n'importe quoi.
Les temps changent, le monde évolue et même James Bond doit s'adapter à son époque dans Meurs un autre jour. Quitte à verser dans le méga grand-guignolesque.
Dernier James Bond avec Pierce Brosnan, Meurs un autre jour a bien failli avoir un spin-off autour du personnage de Jinx, interprétée par Halle Berry.
En promo pour Mourir peut attendre, Barbara Broccoli et Michael G. Wilson sont revenus sur un moment peu glorieux : Meurs un autre jour.