Critique : Arthur et les minimoys
Pour sa première incursion dans le domaine de l'animation 3D, Luc Besson a choisi de porter à l'écran les aventures de son Arthur lilliputien vendues à plusieurs
Comme tous les enfants de son âge, Arthur est fasciné par les histoires que lui raconte sa grand-mère pour l'endormir : ses rêves sont peuplés de tribus africaines et d'inventions incroyables, tirées d'un vieux grimoire, souvenir de son grand-père mystérieusement disparu depuis quatre ans. Et si toutes ces histoires étaient vraies ? Et si un trésor était véritablement caché dans le jardin de la maison ? Et si les Minimoys, ces adorables petites créatures dessinées par son grand-père, existaient en chair et en os ? Voilà qui aiderait à sauver la maison familiale, menacée par un promoteur sans scrupule ! Du haut de ses dix ans, Arthur est bien décidé à suivre les indices laissés par son grand-père pour passer dans l'autre monde, celui des Minimoys, et découvrir les sept terres qui constituent leur royaume...
Pour sa première incursion dans le domaine de l'animation 3D, Luc Besson a choisi de porter à l'écran les aventures de son Arthur lilliputien vendues à plusieurs
Difficile de ne pas être au courant de la sortie ce mercredi d'Arthur et les Minimoys,
le dixième et peut-être-peut-être-pas dernier long-métrage de Luc
Besson.
Le créateur de Star Wars crée la surprise avec un film d'animation que l'on n'attendait pas.
Bon sang mais c'est bien sûr ! Madonna n'était pas présente à la première hollywoodienne d'Arthur et les minimoys et l'échec américain ne s'est pas fait attendre