
La Maison de cire : critique
Sale temps pour les d'jeuns. Le slasher reprend des forces. Le «time out»survenu à la fin de l'ère Scream semble se terminer et la traque meurtrière d'ados
Un groupe d'amis se rendant au match de football de l'école devient la cible de deux assassins dans une ville abandonnée. Ils découvrent que ces hommes ont développé la plus grosse attraction du coin - la Maison de cire - en créant une bourgade peuplée de personnages de cire, confectionnés à l'aide des corps de visiteurs malchanceux. Les jeunes gens doivent maintenant trouver un moyen de s'enfuir avant de devenir eux-mêmes les acteurs de ce funeste théâtre...
Sale temps pour les d'jeuns. Le slasher reprend des forces. Le «time out»survenu à la fin de l'ère Scream semble se terminer et la traque meurtrière d'ados
Netflix a ajouté La Maison de cire à son catalogue ce 1er octobre, histoire de bien fêter Halloween. Et si on aime les slashers débiles, c'est en effet parfait.
La maison de cire (House of wax en VO) réunira à l'écran deux jolies poupées de chair et de sang : Elisha Cuthbert (la fille de Jack Bauer dans la série 24
Vue en décembre dernier en ex-star du porno dans The girl next door, la petite bombe canadienne Elisha Cuthbert devra vite retrouver ses réflexes de la série