Les flops 2016 de la rédaction (attention, c'est méchant)

La Rédaction | 27 décembre 2016 - MAJ : 09/03/2021 15:58
La Rédaction | 27 décembre 2016 - MAJ : 09/03/2021 15:58

Ce n'est pas une défaillance de la rédaction. N'essayez donc pas de recompter. Nous maîtrisons, à présent, toute cette page. Nous contrôlons les chiffres et lettres. Nous pouvons vous noyer sous un millier de news ou dilater une simple rumeur jusqu'à lui donner la clarté du cristal, et même au-delà ... Nous pouvons modeler votre vision et lui fournir tout ce que votre imagination peut concevoir. Pendant les cinq minutes qui viennent, nous contrôlerons tout ce que vous aller voir et lire. Nous partagerons les angoisses et les mystères qui gisent dans les plus profonds abysses... de l'année 2016.

 

AVERTISSEMENT : la rédaction d'Ecran Large étant sauvage et ingérable, il a été impossible d'imposer un nombre précis, logique et normal de films pour ce top incontournable. D'où ce petit chaos assumé encouragé.

Les tops de la rédaction par ici.

Les coups de coeur oubliés de la rédaction par ici.

 

Brent Spiner

 

SIMON RIAUX n'aime pas les muscles d'Alexander et la cantine du bureau

 

1. TARZAN

L’artisan de la plupart des films Harry Potter rêvait d’adapter Tarzan depuis 10 ans. Mais le résultat est un cataclysme invraisemblable, la faute à une direction artistique immonde, un acteur aux fraises et un scénar moins palpitant qu’une visite au Pal. 

2. BRICE 3 

Conçu pour aspirer le contenu des porte-monnaie des fans d’hier et relancer la carrière d'un acteur en déroute, le film piétine la folie douce du précédent épisode et s’impose comme un des plus beaux bras d’honneurs du cinéma français.

 

trailer

 

3. ASSASSIN'S CREED 

Pendant 10 minutes, des yamakazis espagnols courent après une boule de pétanque extra-terrestre, filmés par un mauvais DJ épileptique. Le reste du temps, Michael Fassbender attend son chèque dans une cellule bleutée, en expliquant que la violence, c'est génétique. Douloureux de bêtise, infamant de laideur.

4. CAPTAIN AMERICA : CIVIL WAR

Quand on arrive à organiser des séquences spectaculaires sur des tarmacs d’aéroports et dans des cantines administratives, c’est qu’il faut peut-être s’interroger sur sa direction artistique.

 

Photo Scarlett Johansson

 

5. TOUT SCHUSS

Prendre de la cocaine, c’est bien. En prendre au travail, c’est dangereux : la preuve. 

6. INDEPENDENCE DAY : RESURGENCE

Le précédent épisode était un blockbuster de science-fiction nationaliste et stupide, brillamment introduit par une première heure de SF parano. C’est dommage, c’est le seul élément abandonné par cette suite flemmarde aux effets spéciaux hideux.

7. SUICIDE SQUAD

On tient à féliciter l’équipe promotionnelle qui aura réussi à faire passer ce gros pudding écrit avec des pieds d’enfants morts pour une version pop et colorée des Douze Salopards. Le résultat est tellement irregardable qu’on a aucune envie de découvrir un jour quelle était la version initiale du réalisateur.

 

Photo

 

ALEXANDRE JANOWIAK n'aime pas les accents, les morts-vivants et les choix de McConaughey

 

1. CEZANNE ET MOI

Réussir à réaliser une œuvre aussi insipide, fade et banale en parlant de deux génies de la littérature et de la peinture, relève de l'exploit. L'accent du sud de Guillaume Gallienne relève de la faute professionnelle. Et à y penser je n'ose même pas imaginer ce que donnera le prochain projet de Danièle Thompson...

2. FREE STATE OF JONES

Gary Ross avait entre ses mains un film estampillé Oscar par excellence, il a réussi à le transformer en film estampillé tocard par excellence. A trop vouloir en dire, il ne fait aucun choix, s'éparpille, s'embrouille et nous sert une bouillie indigeste d'un manichéisme à vomir. Et ce n'est pas les grognements de Matthew McConaughey qui viennent aider le film.

 

Photo Guillaume Gallienne

 

3. DESIERTO

Desierto avait un immense potentiel notamment grâce à la marque Cuaron. Malheureusement, le film n'est jamais à la hauteur de ses ambitions et reste victime d'un scénario pauvre et franchissant les limites du ridicule à de multiples reprises. Le climax repose tout de même sur une course poursuite de 10 minutes autour d'un rocher. Navrant.

4. LE BGG

Des enjeux narratifs inexistants, des personnages qui ne provoquent ni l’empathie, ni la tristesse, ni le bonheur mais exclusivement l’indifférence. Comble du comble la séquence à Buckingham Palace qui propose la quintessence de l’humour gras présent tout du long : un concours de pets avec la Reine d'Angleterre ! C’est dire le niveau...

 

Photo Mark Rylance

 

5. THE ASSASSIN

Sur le papier, le long-métrage de Hou Hsiao-hsien est magnifique de bout en bout et l'esthétique est à couper le souffle. Problème son récit est raconté d'une manière si complexe que The Assassin devient avant tout contemplatif, ultra-ennuyant et finalement endormant. Un flop de la déception.

 

The Assassin

 

Mentions

- Les multiples comédies françaises infâmes en tête desquelles Brice 3, Les Visiteurs 3, A fond, Les Têtes de l'emploi, Débarquement immédiat, Radin...

- Le cucul, laborieux et pathétique Nos souvenirs de Gus Van Sant

 

Photo Naomi Watts, Matthew McConaughey

 

Bonus TV

- A l'image de ses Walkers, The Walking Dead ferait bien de se tirer une balle dans la tête pour de bond qu'elle abrège nos souffrances

- Netflix France : Marseille ou la daube télévisuelle de l'année. Scénario ridicule et rebondissements de bas étage, la palme à l'accent ignoble de Benoit Magimel.

 

Marseille Netflix

 

CHRISTOPHE FOLTZER n'aime ni Jésus ni les blockbusters

 
1. PROMOUVOIR, LA MANIF POUR TOUS, LE PASTEUR GUILLAUME ANJOU
 
Si Daesh nous les brise sévère avec force et vigueur, les excités du crucifix n'ont pas été en reste cette année. Au prix de nombreuses attaques, nous avons assistés, effarés, à plusieurs violations de notre liberté d'expression qu'ils prétendent pourtant défendre. NymphomaniacLa vie d'AdèleSaucisse Party, autant de victimes de ces fous furieux qui nous rappellent avec honte et douleur le climat qui s'installe insidieusement en France depuis quelques mois. Et de nous dire qu'au final, la France est peut-être moins le pays des Droits de l'Homme que l'endroit qui les a fait naitre.

bande-annonce

 
2. SOS FANTOMES
 
C'était faisandé dès le départ. Mettre le réal de Mes meilleures amies à la tête d'un des projets les plus casse-gueules de ces dernières années n'était clairement pas la solution. Par cette position dans le Flop 2016, ce n'est pas tant le film en lui-même qui est critiqué (loin d'être aussi catastrophique que ce que l'on craignait) mais bel et bien la communication et la politique des studios actuels. On ne vend pas un film en attaquant les spectateurs mécontents, même si le retour de bâton est ultra violent. On ne les méprise pas en rajoutant une scène qui se moque des commentaires sur Youtube. Et surtout, on n'oublie pas que ce sont eux qui nous font vivre.
 
 

Photo Kristen Wiig, Leslie Jones, Kate McKinnon, Melissa McCarthy

 
 
3. BATMAN V SUPERMAN : L'AUBE DE LA JUSTICE
 
Qu'est-ce qui a bien pu passer dans la tête de Warner, DC et Zack Snyder pour rusher à ce point son univers étendu ? Mis au pied du mur par l'offensive toujours plus énorme de Marvel, le trio a décidé de faire n'importe quoi pour capitaliser au maximum avant de s'effondrer.... se prenant par la même occasion les pieds dans le tapis. Trop long, débile et chiant, BvS est l'exemple-type du produit calibré qui manque sa cible et se plante dans les grandes largeurs. Et ce n'est pas un director's cut encore pire qui va nous sauver de ce naufrage. 


Photo Ben Affleck

 
4. SUICIDE SQUAD
 
Suite logique de BvSSuicide Squad cristallise tous les défauts des blockbusters actuels. Charcuté, remonté, mensonger, il s'agit moins d'un film que d'une grosse opération de com' qui aurait pris le melon en chemin. Phagocyté par Will Smith, sacrifiant ses enjeux et ses personnages pour coller au plus près d'une formule qui fonctionne mais qui n'est pas adapté à cet univers, Suicide Squad est tout ce que l'on ne veut pas voir en ce moment, tout autant que le témoin évident du gigantesque cynisme qui anime les studios. 
 
5. LA 5EME VAGUE
 
Il faudrait quand même expliquer aux studios que le film Young Adult, ça n'est plus vraiment à la mode. Mais non, ils s'acharnent et nous sortent une infamie telle que La 5ème Vague. Histoire inintéressante alors que le postulat de départ est plutôt sympa, acteurs en roue libre et totalement désincarnés, nécessité de créer une franchise au détriment de sa propre histoire, le résultat n'est pas aussi catastrophique qu'un Splendides créatures par exemple, mais nous rappelle que, définitivement, bouffer à tous les râteliers du genre et raconter toujours la même romance moisie, ça fait un peu trop pour nous. Mais bon, on est morts à l'intérieur, aussi, ceci doit expliquer cela. 
 
 

Photo Chloë Grace Moretz

 
 
6. X-MEN : APOCALYPSE
 
Qu'est-ce qui a bien pu se passer entre le très sympa Days of Future Past et cet Apocalypse tout foireux alors qu'il s'agit de la même équipe ? Pourtant, l'histoire laissait présager du meilleur et l'on attendait avec impatience de voir Apo foutre une raclée à nos mutants préférés. Au final, une histoire à la con où Mystique se transforme définitivement en Jennifer Lawrence et trahit le personnage, des enjeux tellement artificiels qu'ils en deviennent risibles et un méchant en carton qui est bel et bien issu d'un épisode des Power Rangers. Rarement un film n'aura aussi bien porté son nom. 
 
7. CONJURING 2 : LE CAS ENFIELD
 
Le premier était déjà sacrément débile mais avec celui-ci, James Wan et ses potes se sont surpassés. Transformer ainsi une histoire supposée vraie (ce qui reste encore à déterminer) pour en faire un tel véhicule pro-catho et tout ramener aux époux Warren est non seulement une très mauvaise idée, mais également une manipulation à la limite du révisionnisme. Il y avait pourtant beaucoup à dire sur le cas Endfield et ses nombreuses zones d'ombre. Mais il faut croire qu'il est beaucoup plus important de pérenniser une franchise qui n'en a pas forcément besoin que de faire un bon film.

 

James Wan

  

MAYA BERKO n'aime ni Pierre Niney ni les actrices (sauf Paula Beer)

 

1. PERSONAL SHOPPER

Si vous voulez voir Kristen Stewart écrire des textos pendant 1h50, ou assister à l’une des scènes de masturbation féminine les plus grotesques / gratuites de l’histoire du cinéma, on ne saurait trop vous recommander d’aller voir Personal Shopper. Si vous cherchez une raison pour vous suicider, aussi. Un film qui parle de deuil, de rédemption, de fantômes qui expectorent des fœtus, de crimes passionnels, de spiritualité, de tout et surtout de rien, finalement.

2. BRIGET JONES BABY

Cette pauvre Bridget n’a jamais été aussi larguée. On peine à rire devant les gags éculés, et on a du mal à avaler que le craquant Patrick Dempsey, et le toujours impeccable Colin Firth, se battent pour être le père de son bébé – alors que la réaction de tout homme normalement constitué serait de s’enfuir en courant. Au sommet de cette montagne de ringardise et de mièvrerie sucrée, seule Emma Thompson – par ailleurs co-scénariste du film - apporte un peu de fraîcheur dans un monde vicié.

 

Photo Renée Zellweger

 

3. FIVE

Une vraie bonne idée de départ, qui aurait pu s’incarner dans une sorte de Péril jeune revisité. A la place, une blague potache qui s’étire en longueur et ne parvient pas à communiquer la belle énergie de ses comédiens. On a l’impression de voir un groupe de copains se faire des farces pendant 1h40, et on n’a pas tellement envie d’en être.

4. FRANTZ

Avec ce mélo mécanique, sans âme et sans surprise, Ozon recycle les thématiques qui lui sont chères – le deuil, l’amour interdit - sans grande inventivité. S’essayant au drame historique et au noir et blanc léché, le réalisateur signe un récit qui fonctionne par à-coups, ponctué de faux rebondissements et de sous-intrigues sans relief. Restent les grands yeux de la troublante Paula Beer, qui incarne le personnage d’Anna avec grâce et retenue.

 

Photo Paula Beer

 

GEOFFREY CRETE n'aime plus les colombes dans les manches et Penelope Cruz

 

1. INSAISISSABLES 2

Insaisissables avait ses fans, il a fallu vivre avec cette idée. Mais qui a bien pu apprécier cette gigantesque farce sans queue ni tête, profondément molle et ennuyeuse en plus d'être stupide à un niveau stratosphérique ? Plus qu'un mauvais tour de magie : une démonstration ouverte des pires ficelles de scénaristes hollywoodiens, fiers de déballer des twists d'une bêtise totale puisque le public en redemandait.

2. ZOOLANDER 2

Il y a quelque chose de désespérément fou et tragique dans cette entreprise clinquante et spectaculaire, truffée d'acteurs capables qui s'agitent sous les lumières, et qui ressemble au fond à un gigantesque théâtre du vide. Sûrement une oeuvre d'art contemporaine trop profonde pour être décente aux yeux de ses contemporains.

 

Zoolander 2

 

3. RESTER VERTICAL

Les affiches de L'Inconnu du lac avaient perturbés quelques esprits en 2013, mais le nouveau film d'Alain Guiraudie (une histoire de bergère, de bi, de bébé, de vieux et de loup) méritait certainement plus de colère et d'indignation.

4. BALLERINA

Le film que Montebourg devra éviter de mentionner lorsqu'il devra sérieusement prôner le Made in France.

5. OPPRESSION

Un navet se définit par son manque tragique d'intérêt et de saveur. S'interroger sur la carrière de Naomi Watts, en revanche, a de quoi occuper pendant 1h30.

6. JULIETA

Pedro, tu m'ennuies. Follement, éperdument, douloureusement (même si Adriana Ugarte est superbe)

 

Photo Adriana Ugarte

  

7. LA FAMILLE DES WARCRAFT, TARZAN, SUICIDE SQUAD, LES ANIMAUX FANTASTIQUES, ASSASSIN'S CREED, ALICE DE L'AUTRE COTE DU MIROIR

Un regroupement aussi fin et honnête que ces superproductions boursouflées, cruellement dénuées d'âme, de finesse et d'ambition réelle.

 

Bonus TV : AMERICAN HORROR STORY : MY ROANOKE NIGHTMARE

La plaisanterie de l'année. Une farce incongrue d'un ennui incroyable, qui recycle avec une paresse déconcertante des clichés que les précédentes saisons avaient pour la plupart remâchés. Une horreur indigeste, qui ferait presque passer Hotel et Coven pour des réussites.

  

Photo Sarah Paulson

 

 

LAURENT PECHA précise qu'il n'avait pas encore vu Assassin's Creed

 
 
Une abomination. Au delà du gâchis inouï (car il y avait tout pour réussir un bon film), il y a la colère de perdre plus de deux heures de sa vie devant un truc qui ne respecte même pas un minimum son spectateur. Sans doute le film de super-héros le plus nul de l'Histoire (il y a peut être pire mais ils sont moins longs).
 
2. TARZAN
 
On pourrait répéter exactement la même chose que pour Suicide Squad. En rajoutant que les effets spéciaux sont ici les pires jamais vus à un tel niveau de production. 

 

Alexander Skarsgård



3. PATTAYA

Je suis trop vieux pour ces conneries. Un film qui chie littéralement à la gueule du spectateur comme ultime gag ne mérite que mépris. 


4. INFERNO

Tout est dans le titre en fait. Il est plus que temps que Ron Howard et Tom Hanks arrêtent les aventures de ce professeur universitaire. Ce troisième épisode fait passer les deux premiers pour des Indiana Jones.  

 

Photo

 

 
Le film le plus n'importe quoi de l'année (de la décennie ?). En tout cas assurément le plus beau nanar friqué de l'univers. On a encore du mal à être sûr de ce que l'on a vu. 
 
Même en étant totalement réfractaire au premier, on lui trouve forcément plein de qualités après avoir vu celui-là. C'est le tour de force de 2016. Autant d'attente entre deux films pour un résultat aussi consternant, ça imposerait presque le respect. 
 
Besson inspire des copies de cinéma d'action (sic !). Le niveau de bêtise atteint par le scénario de Bastille day est juste impressionnant.
 
 

Bill Pullman

 
 

Tout savoir sur Suicide Squad

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commentaires
Descartes
09/01/2017 à 04:20

@Arnaud
C'est bien @Moustiqu3 qui a raison. "Autant/Au temps pour moi" existent toutes deux, mais s'emploient dans des contextes différents. En l'occurence, l'emploi que tu en fait est incorrect et la chose est bel et bien confirmée par l'Académie française.

Arnaud
03/01/2017 à 10:37

@Moustiqu3

Comme te l'a dit OpieOP, les deux termes sont valables, même si l’académie Française aurait tendance a privilégier "Au temps pour moi"
Néanmoins, moi je préfère le "Autant pour moi" qui a une nuance d’équivalence ou d’égalité dans l'erreur, tandis que "Au temps pour moi" est issu du monde militaire et n'a donc pas de lien réel avec l'idée que je souhaite exprimer.
L’académie me laissant le choix des armes, je décide de prendre "Autant" et cela reste correct

Quand on veut faire le connaisseur de la langue française, on fait attention également :)


@Pseudo
Si tu passes ton temps a dire qu'EL n'aime rien et critique tout négativement, oui tu es concerné. Dans le cas contraire, non absolument pas.
En fait c'etait surtout pour me moquer des gens qui disent d'EL qu'ils mettent de mauvaises critiques a tous les films alors que la plupart du temps ce n'est absolument pas le cas. y avait rien de mechant la-dedans

OpieOP
02/01/2017 à 13:05

@Moustiq

Pour info, l'Académie française dit que "rien ne justifie" cette orthographe sans pour autant la condamner, et c'est une expression souvent questionnée puisque beaucoup de gens de lettres débattent sur "autant" ou "au temps". Donc ce n'est pas réellement une faute profonde

Moustiqu3
02/01/2017 à 12:52

Pour info, on dit Au temps pour moi!
Quand on critique...on fait attention!

Yacbond
31/12/2016 à 11:26

Déjà l'année dernière était mauvaise (sauvée par Mad Max), mais celle là c'est vraiment la pire. Je ne me souviens pas d'une année où j'ai ressenti aussi peu de plaisir devant un grand écran.
Mon seul bon souvenir c'est The Nice Guys.

Patrick_84753
30/12/2016 à 23:05

Beaucoup de belles et grosses bouzes cette année au ciné. Surtout à Hollywood qui s'enfonce film après film à produire des films creux, avec pour seul ambition celui de gaver mes spectateurs d'effets spéciaux. Avec le succès des séries TV les producteurs de ciné sont décidés à franchiser tout ce qui passe entre leurs mains. C'est pitoyable.
Et sinon pour vous c'est quoi le dernier grand film contemporain ?

titou
30/12/2016 à 13:47

Quelle bande de pisse froid cette rédac !

soylent green
28/12/2016 à 17:06

Pas du tout d'accord avec la critique de BRIGET JONES BABY. Il était mieux que le précédent. Le film m'a fait bien rire. Que demander de plus. J'en ai assez des films de potaches à deux balles que Hollywood nous impose ces dernières années. Enfin, une vrai rom com qui s'affirme comme telle.

Le problème de Disierto, n'est pas tant un caractère ridicule qu'un manque total d'originalité. C'est du déjà vu à plusieurs reprises et en nettement mieux. Et Jeffrey Dean Morgan est souvent difficile à canaliser.

Geoffrey Crété - Rédaction
27/12/2016 à 17:05

@overlize

On parie que non ? :)

Ou alors dans les Indéfendables. Et encore, pour pas mal de ces films, il y a eu bien assez de débats et buzz. Notre rubrique sert à parler d'autre chose, d'oeuvres moins contemporaines et populaires.

overlize
27/12/2016 à 16:55

Autant de films qui viendront, sans aucun doute, alimenter votre rubrique "Le mal-aimé"... ;)

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