Critique : Prison on fire 1 et 2
A
travers la série des « On fire »
débutée en 1987 avec City on fire, le réalisateur
hongkongais Ringo Lam étudie la violence sur les hommes sous toutes
Prison
on fire 1
Condamné
pour un homicide involontaire, le jeune Lo Ka Yiu débarque dans un pénitencier où
une lutte de clan règne sans merci. Rapidement, Ching, un détenu décalé, le
prend alors sous son aile et l'aide à purger sa peine tant bien que mal.
Prison on fire 2
Emprisonné
avec des détenus de la Chine continentale, Ching doit faire face à de
nombreuses et dangereuses rixes afin de terminer sa peine. Mais son envie de retrouver
son fils, plus forte de jour en jour, le pousse à l'évasion ce qui n'arrange pas
les choses lorsque le chef des gardiens est plus injuste et sadique que jamais.
A
travers la série des « On fire »
débutée en 1987 avec City on fire, le réalisateur
hongkongais Ringo Lam étudie la violence sur les hommes sous toutes
C'est avec une grande tristesse que nous apprenons la disparition du génial réalisateur Ringo Lam...