Game of Thrones saison 8 : le premier épisode bat tous les records d'audience

Ah ça, on ne peut pas dire qu'on ne l'a pas mérité. Après des mois et des mois d'attente fébrile, des semaines de teasing insupportable, la dernière saison de Game of Thrones est enfin là. Et nous aussi...

Ce n'est pas vraiment être devin que de prophétiser le succès de la diffusion de l'ultime saison de Game of Thrones qui a débuté aux Etats-Unis dans la nuit de dimanche dernier.

L'une des séries les plus importantes de la décennie fait son grand retour après un gigantesque teasing, alors que tout le monde se demande comment elle va bien pouvoir terminer et qui accèdera finalement au trône. Logique donc que les spectateurs se soient calés en masse devant leurs écrans.

Qu'importe l'issue, le grand vainqueur, c'est HBO

Car oui, il faut bien l'avouer, mais cette saison finale constitue un véritable événement culturel qui touche tout l'Occident. Et ce n'est pas peu dire puisque le site TV Line vient de publier les audiences américaines qui donnent le tournis. En effet, pas moins de 17,4 millions de spectateurs ont regardé le Season Premiere.

Il s'agit du plus gros score du réseau HBO, le précédent record étant détenu par l'épisode final de la saison 7, qui avait rassemblé 12,1 millions de spectateurs le soir de sa diffusion, avant que les rediffusions sur les canaux parallèles du network ne fassent grimper le score à 16,1 millions de spectateurs.

Euh, attend, quelqu'un nous regarde...

Si l'on remet les choses en perspective, cela signifie que la série a triplé son nombre de spectateurs depuis le début de sa diffusion en 2011 et qu'elle reste l'une des seules oeuvres télévisuelles à voir ce nombre augmenter avec les années. Quand on considère la hype autour de cette ultime saison de Game of Thrones et que l'on sait que les événements scénaristiques ne vont pas tarder à se précipiter, on peut s'attendre à un score encore plus gigantesque à la fin du dernier épisode.

Et pendant ce temps, The Walking Dead regarde sa voisine avec envie et pleure, tout seul, dans son coin.

Et c'est que le début...