Un Doigt dans le Culte : retour sur la saga Castlevania

Christophe Foltzer | 9 juillet 2017 - MAJ : 09/03/2021 15:58
Christophe Foltzer | 9 juillet 2017 - MAJ : 09/03/2021 15:58

Avec Un Doigt dans le Culte, la rédaction profite de son temps libre, de son salaire mirobolant et de sa mégalomanie galopante pour partager avec vous des œuvres importantes, cultes, adorées ou en dehors de toute actualité. Films, séries, livres, bandes-dessinées, sculptures en crottes de nez, tout va y passer. Aujourd’hui, pour fêter l'arrivée de Castlevania en dessin animé sur Netflix, on revient sur cette saga légendaire.

Les années 80 ont façonné la culture vidéoludique telle que nous la connaissons aujourd'hui. Si le média a failli mourir en Occident suite à la crise terrible de 1983 qui a plombé l'industrie, le salut est venu du Japon et de Nintendo en particulier qui, avec sa Nes, a redonné un nouveau souffle au jeu vidéo et ce qui s'est fait à l'époque fonctionne encore aujourd'hui. Qu'il s'agisse de Super Mario Bros, Legend of Zelda ou encore Metroid, la firme a imposé des franchises fortes, des gros classiques intemporels. Mais elle est a aussi permis à d'autres sagas de voir le jour et, parmi elles, l'une des meilleures est sans conteste la série Castlevania de Konami. 

 

Photo Castlevania SOTN

  

LES ORIGINES DU MAL

A l'époque de la sortie du premier jeu en Occident en 1986, Castlevania ne révolutionne pas tant le jeu vidéo par son fond mais davantage par sa forme. En effet, le genre action-plateforme était déjà bien représenté sur la console et, de ce strict point de vue, le jeu n'apporte pas grand chose de neuf, mis à part un système de sub-weapons assez novateur, inspiré de quelques shoot-em-ups et une arme inédite, le fouet. Mais c'est dans sa représentation que Castlevania va constituer une date importante. En effet, au moment où les jeux vidéos sont encore relativement récents et les consoles de salon japonaies toutes nouvelles, le public est surtout composé d'enfant en bas-âge. Et cela se ressent dans les thèmes abordés par ces productions, principalement chez Nintendo, déjà très axé kids et qui impose de lourdes contraintes aux développeurs qui veulent bénéficier de son Seal of Quality.

Autant dire qu'on ne s'attendait pas forcément à voir débarquer un jeu qui se passe en Transylvanie, où le héros va devoir combattre des hordes de démons et de morts-vivants pour finalement vaincre le terrible Dracula dans son donjon. Ambiance de film d'horreur, atmosphère lourde et oppressante, graphismes au diapason et musiques angoissantes ET entrainantes, Castlevania, dès le départ, se crée une place à part, plus adulte, dans la ludothèque Nes. Si la jouabilité peut paraitre très rigide aux joueurs d'aujourd'hui, il faut savoir qu'à l'époque, nous ne réfléchissions pas forcément en ces termes et que cela faisait partie du challenge. Car oui, Castlevania est un jeu difficile, intransigeant et la plupart du temps injuste. Pourtant, on y revenait toujours, nous voulions voir Simon Belmont vaincre les forces du Mal car nous n'avions jamais vu cela auparavant.

 

Photo Castlevania

Castlevania sur NES

 

Le jeu s'inspire de l'inconscient collectif de la littérature et du cinéma d'horreur et l'influence première est évidemment le Dracula de Bram Stoker. Cependant, il est aussi une déclaration d'amour gigantesque aux monstres de la Universal puisqu'entre la Momie, la chauve-souris géante, la créature de Frankenstein, c'est tout le bestiaire légendaire du studio qui vient nous mettre des bâtons dans les roues. Le jeu est évidemment un succès, une suite est rapidement mise en chantier et elle en déconcertera plus d'un.

Lorsque Simon's Quest sort en 1987, la surprise est pour le moins déroutante. Fini le jeu d'action, nous sommes à présent en présence d'un jeu d'aventure à scrolling horizontal. Handicapée en Occident d'une traduction déplorable, le jeu fait un peu tâche et pourtant il recèle d'énormes qualités qui seront reprises plus tard. Déjà, un cycle jour/nuit assez novateur pour l'époque et qui exige une gestion précise de ses actions, les marchands étant fermé la nuit et les monstres étant plus fort. Ensuite, un système d'inventaire et de leveling, quoi qu'un peu absurde, mais qui apporte une certaine profondeur au gameplay. Si le succès est encore au rendez-vous, de nombreuses voix se lèvent, regrettant le premier épisode. Et Konami saura s'en souvenir pour l'opus suivant, Dracula's Curse, qui en reprendra les bases tout en adjoignant de grosses nouveautés : on pourra incarner d'autres personnages, dont le cultissime Alucard, fils de Dracula. Un système de routes alternatives, un moteur graphique au top, une difficulté encore accrue, Dracula's Curse est la quintessence de la saga, le meilleur opus de la Nes et on se demande bien ce qui va suivre.

 

Photo Simon's quest

Simon's Quest sur NES

 

NOUVELLE GENERATION

Hormis deux épisodes sur GameBoy assez anecdotiques, Castlevania traverse le temps et aborde les consoles 16 bits avec Super Castlevania 4, en 1991 sur Super Nintendo, qui est en réalité un remake boosté du premier jeu. Si le soft en reprend les grandes lignes, la refonte est telle qu'il en est méconnaissable. Profitant des capacités hallucinantes de la console pour l'époque, le jeu est un festival de morceaux de bravoure, tant visuels que sonores et l'adjonction de la possiblité de fouetter l'air dans 8 directions différentes change totalement la donne et en fait l'un des meilleurs jeux de la console et le meilleur titre de la première génération de la saga. A partir de là, même si le soft est un énorme succès, la saga commence néanmoins à tourner en rond et la suite des opérations sera riche en surprise. Alors que l'on s'attendait à un nouvel opus sur Super Nintendo, il faudra pourtant se tourner vers la PC-Engine Super CD-Rom pour goûter à Rondo of Blood, un jeu qui a ouvert la voie à une petite révolution.

 

Photo Super Castlevania 4

Super Castlevania IV sur Super Nintendo

 

Pourtant, sur le papier, la formule ne diffère pas tellement de son prédécesseur. Il s'agit toujours d'un jeu d'action à scrolling horizontal proposant des chemins alternatifs et doté d'une grosse difficulté mais le fait que le jeu tienne sur un CD-Rom change beaucoup de choses. Déjà, techniquement, le jeu est incroyable pour une machine inférieure à la Super Nintendo. Les musiques sont magnifiques, l'ambiance extraordinaire et l'aventure se permet même quelques effets inédits. Renouvelant totalement son bestiaire, Rondo of Blood a acquis une réputation de jeu culte pour la simple et bonne raison qu'il n'est jamais sorti en Occident, excitant ainsi tous les fantasmes des fans de la saga qui découvraient alors des cut-scenes dignes des animés japonais.

Il faudra en effet attendre la sortie du remake sur PSP, pour y goûter puisque le jeu original est donné en bonus. Si le maniement est aussi rigide, le jeu propose surtout une aventure qui ne soit pas exclusive à Nintendo, ce qui est un gros évènement, bien que le Castlevania original soit sorti sur plusieurs machines à l'époque (et même en arcade), nous autres français n'avions que la possibilité d'y jouer sur les consoles de Mario. Une tendance qui se confirme l'année d'après, en 1994, puisque The New Generation sort sur MegaDrive, à la suite d'accords entre Sega et Konami, qui peut à présent porter certaines de ses licences dans la maison de Sonic et, là encore, c'est la révélation. Techniquement très impressionnant, proposant deux types de gameplay, le jeu bénéficie d'une ambiance quelque peu différente puisqu'il est le premier soft à ne pas proposer un Belmont en héros et tisse des liens plus qu'étroits avec le roman Dracula. Une vraie pépite, un peu trop oublié et qu'il faut cependant redécouvrir de toute urgence.

 

Photo Rondo of Blood

Rondo of Blood sur PC-ENGINE Super CD-Rom

  

NOUVELLE DIMENSION

La deuxième partie des années 90 voit la démocratisation de la 3D, notamment via la PlayStation et la Saturn et, comme toute grande série, Castlevania doit franchir le pas. Si c'est un succès pour Mario et pour Zelda, on ne peut pas en dire autant de Castlevania 64 et de sa suite Legacy of Darkness. Là encore, pas de Belmont, une facture technique plutôt brouillone et un gameplay trop rigide qui trahit le manque d'expérience de Konami dans le domaine. Mais le plus grave, c'est évidemment sa gestion des caméras, catastrophique, qui plombe complètement l'aventure et rend difficile, voire impossible, l'appréhension de l'aspect plateforme du soft, pourtant primordial. S'ils ne sont pas les pires jeux du monde, ces deux opus sont plus à ranger dans le rayon des curiosités et forcera le développeur à retourner du côté de la 2D, parce que Castlevania  est sur le point de vivre une gigantesque révolution. 

 

Photo Castlevania 64

Castlevania 64 sur Nintendo 64

 

Koji Igarashi, retenez bien ce nom. C'est lui en effet qui prend en charge le développement du nouveau volet, Symphony of the Night, sur PlayStation et Saturn, et c'est lui qui donne un nouveau souffle à la saga. Entouré d'artistes aussi compétents que l'illustratrice Ayami Kojima et la compositrice Michiru Yamane, Symphony of the Night redéfinit complètement ce qu'est Castlevania. Vous vous souvenez de Simon's Quest et de son aspect RPG mal dégrossi ? IGA (comme il se fait appeler) s'en rappelle également et en fait la base de son jeu avec une autre grosse inspiration : Metroid. A l'instar de Samus Aran, Alucard se retrouve dans un seul et unique niveau, le gigantesque château de Dracula, qu'il ne pourra explorer de fond en comble qu'en acquérant de nouveaux pouvoirs. Avec une gestion d'inventaires, de sorts et de leveling parfait de bout en bout, Symphony of the Night s'impose d'emblée comme le jeu que tous les fans attendaient tant il est à la croisée des différentes expérimentations qu'a connu la saga au cours de ces dernières années.

Si l'univers de Castlevania a toujours bénéficié d'une certaine chronologie et d'une histoire de fond, ce jeu est le premier à prendre son récit à bras le corps et à en faire un moteur de fonctionnement, puisqu'il fait directement suite à Rondo of Blood et en reprend énormément d'éléments graphiques. Il est d'ailleurs incroyable que, 20 ans après, le jeu soit encore aussi plaisant à jouer d'autant que, cerise sur le gâteau, il recèle d'innombrables secrets, le plus célèbre étant un second château auquel on ne peut accéder qu'avec une combinaison d'items appropriés et qui double la durée de vie. Une pièce maitresse pour la saga et l'un des meilleurs jeux de PlayStation, le portage sur Saturn étant très déceptif malgré la possibilité de pouvoir jouer avec un personnage inédit, Maria, et de nouveaux niveaux.

 

Photo Symphony of the Night

Symphony of the Night sur PlayStation et Saturn

 

L'impact de Symphony a été tel qu'il crée deux genres au sein-même de Castlevania. Les jeux qui sortiront sur consoles portables reprendront son principe (créant ainsi le genre des Metroidvania) tandis que ceux sur consoles de salon iront plus loin dans l'expériementation. Les jeux sur portables, dont on peut citer les plus célèbres, Aria of Sorrow, Portrait of Ruins et Order of Ecclesia, continueront d'ailleurs l'histoire impulsée dans Rondo of Blood et verseront davantage dans la japanimation, mais toujours avec des résultats conséquents. La Playstation 2 arrive et, la 3D étant à présent mieux maitrisée, Konami retente sa chance avec deux titres, Lament of Innocence et Curse of Darkness.

Après un projet avorté sur Dreamcast, Resurrection, qui devait nous raconter l'aventure de la pionnière du clan Belmont, Sonia, Konami décide de revenir aux fondamentaux en nous narrant les origines de Dracula et de l'histoire étroite qu'il entretient avec le clan de chasseurs de Vampires, via Leon Belmont, parti à la rescousse de sa destinée dans un mystérieux château maléfique. Glauques et ténébreux au possible, ces deux volets font la part belle à l'exploration dans des environnements très inquiétants et gère sa 3D beaucoup mieux que ne le faisait Castlevania 64 à l'époque. Pourtant, ils ne rencontrent pas le succès escompté, ce qui est bien dommage parce qu'ils valent clairement le coup d'oeil et tendraient à prouver que la franchise n'est pas faite pour la 3D. Mais ce n'est qu'une question de temps. 

 

Photo Order of Ecclesia

Shanoa, héroïne d'Order of Ecclesia sur Nintendo DS

 

NOUVEAU DEPART  

Si les jeux 2D sur consoles portables sont toujours excellents, il faut bien reconnaitre que la saga commence à tourner en rond et s'éparpille même un peu trop puisque, sans trop que l'on comprenne pourquoi, Konami décide de développer un jeu de baston exclusif à la Wii, Castlevania : Judgment qui laisse totalement de côté les designs d'Ayami Kojima pour s'adjoindre les services de Takeshi Ohbata, dessinateur très populaire à qui l'on doit notamment Death Note.

Le résultat, sans être honteux, est on ne peut plus déroutant et prouve encore une fois le changement de mentalité de l'éditeur qui commence à capitaliser sans vergogne sur l'une de ses séries-phare, quitte à faire n'importe quoi avec. Passé ce petit crime de lèse-majesté, le constat est évident : dans sa forme actuelle, Castlevania semble arrivée à bout de souffle et il faut faire un gros nettoyage pour lui redonner sa jeunesse. Ce qui, en langage financier, ne veut dire qu'une chose : il lui faut un reboot.

 

Photo Castlevania Judgment

Castlevania : Judgment sur Wii (crédits photo : Gamekult)

 

Lorsque Lords of Shadow est annoncé, il inquiète autant qu'il excite. Premier jeu développé par quelqu'un d'autre que Konami, il a été confié aux soins de MercurySteam, petit studio espagnol qui l'a développé pendant 4 ans sans que l'on sache trop d'où il sorte. Mais la grosse plus-value, en dépit de l'absence d'IGA, c'est bien entendu Hideo Kojima, le papa de Metal Gear Solid, ici producteur du jeu et dont la patte est reconnaissable. Lords of Shadow tente à nouveau la 3D mais, plutôt que de se poser en novateur, il reprend à son compte des formules qui ont déjà faites leurs preuves. Très largement inspiré de God of WarDevil May Cry et Shadow of the Colossus, le jeu nous met dans la peau de Gabriel Belmont, qui cherche à réunir les morceaux d'un masque mystérieux pour ressusciter sa femme et qui se retourve mandaté par Zobek pour détruire Satan.

Magnifiquement réalisé et très abouti techniquement pour l'époque, Lords of Shadow embrasse totalement sa dimension hollywoodienne en laissant la part belle à son histoire et en redéfinissant totalement le concept de la saga puisqu'il ne nous narre rien d'autre que la naissance de Dracula. Faisant table rase du passé, il nous propose un univers désespéré dont s'inspirera beaucoup la série de Netflix et redéfinit totalement ses enjeux, se permettant même une scène post-générique à la limite d'Entretien avec un Vampire que le sinistre Dracula Untold repompera sans vergogne. Si le soft est entâché de quelques défauts de jouabilité, il n'en reste pas moins très bon, même si le fan aura du mal à reconnaitre l'univers de la saga. Ce qui fait que l'on peut qualifier Lords of Shadow de très bon jeu d'action mais de mauvais Castlevania.

 

Photo Lament of Innocence

Lament of Innocence sur PlayStation 2

 

Le titre ayant rencontré un gros succès, une suite est mise en chantier et elle aura deux visages. Tout d'abord, Mirror of Fate, jeu en 2.5D qui raconte la suite de l'histoire et introduit notamment le personnage de Trevor Belmont, fils de Gabriel destiné à devenir Alucard mais surtout Lords of Shadow 2 qui sonnera le glas de cette nouvelle lecture de l'univers. Là, on ne comprend pas vraiment ce qui s'est passé. MercurySteam privé de l'apport de Kojima nous offre un titre schizophrène qui adjoint aux séquences d'action des phases d'infiltration ennuyeuses et mal réalisées au possible qui, combinées à un scénario très en deça des nos attentes, rendent le tout très embarrassant. Le succès tout relatif du jeu s'en ressentira et Konami n'y donnera pas suite.

 

Photo Lords of Shadow

Lords of Shadow sur PS3, XBOX 360 et PC

 

L'AVENIR

Entre 1986 et aujourd'hui, les choses ont beaucoup changé, et pas forcément pour le mieux. La politique incompréhensible de Konami a enragé pas mal de fans suite au licenciement de Hideo Kojima pendant le développement de The Phantom Pain et l'annulation de Silent Hills et l'éditeur semble s'être replié dans le marché beaucoup plus lucratif du pachinko. Sorte de bandit manchot très populaire au Japon, Konami nous a offert deux machines reprenant l'univers de Castlevania à la limite du jeu érotique. Une insulte pour tous les fans et des machines qui, heureusement ne sortiront jamais en France. Après le second Lords of Shadow et Order of Ecclesia, la franchise Castlevania semble bel et bien en sommeil pour une période indéterminée. Si aucun nouveau n'est annoncé pour le moment, la popularité de cet univers n'a jamais été aussi forte et la série de Netflix pourrait être le signe d'un nouveau départ. C'est en tout cas ce que l'on espère. 

 

Photo Dust an Elysian Tail

Dust : an Elysian Tail sur PlayStation 3, XBox 360 et PC

 

Il faut cependant se tourner vers d'autres productions, principalement indépendantes, pour retrouver un peu de Castlevania. Dust, an Elysian Tail par exemple, ou encore le récent Hollow Knight s'impose comme de glorieux successeurs. Mais le titre que nous attendons tous, c'est évidemment Bloodstained : Ritual of the Night, nouvelle production de Koji Igarashi, développé en indépendant grâce à un fructueux Kickstarter et qui devrait sortir en mars 2018. Car c'est lui, et lui seul, qui semble être le digne successeur de Castlevania, ce qui est un peu normal puisqu'il est réalisé par le papa de Symphony of the Night.

 

Nous espérons que ce petit tour d'horizon de la saga Castlevania vous aura plu en précisant qu'il reste encore énormément de choses à dire sur cette série mythique. Si vous n'avez jamais joué à un seul titre de cette collection, n'hésitez pas. Commencez par le premier, puis Super Castlevania 4 et évidemment Symphony of the Night, vous ne le regretterez pas. Quant aux autres, notre espace commentaire est là pour poursuivre le sujet.

 

Photo Bloodstained

Bloodstained : Ritual of the Night sur à peu près tout ce qui existe actuellement

 

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commentaires
Pulsion73
09/02/2018 à 12:12

Que de souvenirs. Ah là là. Je me souviens d'un épisode avec Alucard, personnage très classe, je ne sais plus sur quelle console par contre, super nintendo, ou PS. Je sais plus. Je trouvais dans l'ensemble les castlevania sur portable assez bien mais souvent répétitifs, pas assez originaux. Les musiques étaient un des principaux atouts de ces jeux. Certaines étaient vraiment belles.

Hildegarnic
13/07/2017 à 14:40

C'est vraiment cool d'avoir cité "The New Generation". Les gens ont salement tendance à le mettre de coté alors que pourtant... ET CETTE PUTAIN DE JAQUETTE !!!

adoy
09/07/2017 à 15:00

Un bon vent pour un doigt dans le culte..hummm ;)

Hasgarn
09/07/2017 à 11:56

Tu devais déjà être parti, parce que ce titre est déjà à l'usage depuis un moment.

Mais bon vent à toi ;)

Et en passant, MERCI EL pour cet article sur ma saga préféré du jeu vidéo *v*

adoy
09/07/2017 à 10:58

Avec ce titre d'article..je dis stop et adieu EL.