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Plus que jamais, Mel Gibson semble sur le point de réussir son comeback, ainsi que nous le laisse entendre l’intense bande-annonce de Blood Father.
Avec ce titre, il semble clair que le nouveau film de Jean-François Richet ne sera pas une chronique sociale de la parentalité heureuse. Et un coup d’œil à son synopsis le confirme. On y retrouvera donc Mel Gibson, dans la peau collante de sueur et d’alcool de John Link, ancien taulard reconverti dans le tatouage et le pétage de bras.
Alors qu’il vit tranquillement dans sa caravane hypoallergénique, sa fille, qu’il n’a pas vue depuis des années, débarque et lui annonce qu’un gros gang de bourrins a très, mais alors très envie de repeindre les murs de la cinémathèque de Bologne avec le contenu de sa boîte crânienne.
Ni une ni deux, Mad Mel sort les pétoires et s’en va décaniller du gangster. Et comme nous le montre cette bande-annonce, le tout s’annonce bien violent comme il faut, sec, et brut à souhait. Soit le véhicule idéal pour que Mel Gibson nous rappelle son héritage de Mad Max et fasse le ménage comme au bon vieux temps, à coups de fusil à canon scié.
Vivement le 31 août prochain.
Retour aux USA, après que divers projets n’aient pas abouti… Et par la petite porte.
Pas du tout un thriller noir et terminal comme on aurait pu s’attendre de manière radicale, comme le fût un « Rambo Last Blood » par exemple.
Plutôt une petite comédie d’action brutale, et comme toujours plein de beaufitude. Où seule l’aura de Mel Gibson, et tout ce qu’elle charrie de chaotique et de signifiant dans le sillage de sa carrière et de sa vie personnelle, fait tout l’intérêt (Jean-François Richet n’y est qu’un exécutant, un peu fan mais sans plus).
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La vision d’une Amérique (droitière), semi dégénérée au milieu du désert, inscrit moins le film dans la même lignée que les opus à la Cormac McCarthy ou Taylor Sheridan (trop de burlesque ici)… mais plutôt comme un mini Mad Max.
Et en modifiant quelques points de scénario, ça aurait aussi bien pû faire un bon épisode final de « L’Arme Fatale », mettant une fille en colère (la mimi Erin Moriarty) à la place de Danny Glover, pour venir faire contrepoint à la folie furieuse de Gibson… toujours présente depuis presque 40 ans.
Mel is the all times fucking best …
Vous vous extasiez pour une bande annonce certes nerveuse mais bon des films comme ça avec Nicolas Cage ou Jason Patrick il en existe plein. Sûrement un bon petit film mais pas de quoi quater au plafond. Mel est un bon acteur, un bon réal mais il reviendra pas comme Keanu Reeves. Les expendables c’était le max déjà
Le top des tops c’est sa gueule sur l’affiche … Ce mec est né pour le cinéma… sacré mel ..
. you are born to do it mister gibson .
Quel dommage que Gibson n’ait pas pu reprendre son role dans Fury Road.
Un mad max visage buriné et barbe grisonnante, ça aurait été dément.
Trop hâte !! Richer et Mad Mel , le cocktail explosif parfait . Mel is Back
Impec