Les bons remakes, c’est possible : la preuve en 6 films

La rédaction d’Ecran Large s’est réunie en vidéo pour comprendre ce qui fait un bon remake, avec 6 exemples précis.

Avec la sortie de Coupez ! de Michel Hazanavicius, relecture de la pépite japonaise Ne Coupez pas !, l’équipe d’Ecran Large a pu de nouveau s’écharper sur ce qui fait la qualité d’un bon remake. En même temps, les réécritures de films font souvent l’objet de railleries ou de préjugés venant des spectateurs et cinéphiles, prêts à attendre avec des fourches des propositions jugées opportunistes ou bêtement mercantiles.

Pourtant, repenser un concept comme celui de L’Invasion des profanateurs de sépultures ou de La Nuit des morts-vivants fait totalement sens selon l’époque investie et la sensibilité du cinéaste. Certes, un remake ne parvient pas toujours à transcender son modèle (surtout lorsque ce dernier est un classique absolu), mais l’exercice peut donner lieu à des expérimentations fascinantes.

Or, c’est exactement ce que l’équipe d’Ecran Large a décidé de mettre en valeur au travers d’une vidéo où chaque rédacteur revient sur un bon remake, afin d’expliquer par l’exemple comment en reconnaître un (spoiler, c’est plus dur que de distinguer le bon du mauvais chasseur).