Le flop des pires films de 2025 selon Écran Large à la mi-année, avec du Netflix, de fausses mousquetaires, du super-héros et des monstres.
Après un premier bilan des meilleurs films de 2025 à mi-année, place aux films qui ont le plus énervé, exaspéré… la rédaction depuis le début d’année. Un rendez-vous obligatoire (tant vous aimez ça, on ne va pas se le cacher), les flops sont vraiment l’occasion de revenir un peu plus en détail sur les films les plus mauvais de l’année (même si on ne peut évidemment pas tout évoquer).
Après consultation des membres de la rédaction, Ecran Large a constitué son flop 10 des pires films de 2025 sans faire de distinction entre les sorties cinéma, les films sortis directement sur les plateformes de streaming ou ceux balancés en catimini en VOD-DTV… Car désormais, les navets se subissent sur tous les types d’écrans.
Avertissement : Les 10 films de la liste sont sortis entre le 1er janvier et le 30 juin 2025.
Avertissement bis : Classement par ordre chronologique de sortie en France, sinon l’équipe serait encore en train de se battre.

Toutes pour une
- Sortie : 22 janvier 2025
- Durée : 1h36

Ça parle de quoi ? Une relecture féminine des Trois mousquetaires. Qu’est-ce qui pouvait mal se passer ?
Pourquoi c’est un coup d’épée dans l’eau ? Qu’on soit bien clair : le problème de Toutes pour une ne tient aucunement à son sujet et son approche, immédiatement attaquées sur le net par les paniques morales du moment, qui prennent rarement la peine de chercher le cinéma pour faire valoir leur opinion. Malheureusement, dans le cas du film de Houda Benyamina (Divines), c’est bien la mise en scène, d’une laideur incommensurable, qui bousille ses vélléités de film d’aventure détourné.
Pire, ce plaidoyer féministe, rempli de symboles pas bien finauds à base d’épées et de zizis, ne fait que réarmer ces éléments phalliques à destination du féminin. Les héroïnes les emploient avec la même force oppressive que les hommes, sans même comprendre qu’elles perpétuent les mêmes schémas de pensée, juste en les inversant. Mais tout ça est finalement bien peu de choses face à la mue du film en nanar total, entre sa BO décalée hip-hop bien cringe et son montage tentant comme il peut de sauver les rares images exploitables.
The Witcher : Les sirènes des abysses
- Sortie : 11 février 2025 (sur Netflix)
- Durée : 1h31

Ça parle de quoi ? Geralt de Riv, éminent sorceleur, est chargé de démêler une situation épineuse entre une population terrestre et une population de sirènes dont les rejetons respectifs veulent se marier.
Pourquoi c’est pire qu’un grand coup d’Igni dans la tronche ? Le jeu vidéo The Witcher 3 nous avait donné du grandiose, la série The Witcher nous avait donné du médiocre, alors le film d’animation The Witcher : Les Sirènes des abysses a fait sa part du boulot en nous infligeant du tout pourri.
Ce film Netflix réalisé par Kang Hei Chui ne sait pas à quel saint se vouer : entre plagiat honteux de La Petite Sirène de Disney (avec même la chanson d’Ursula singée en plein milieu du film), allégeance au jeu vidéo (Doug Cockle revient donner sa voix au sorceleur), respect de l’œuvre d’Andrzej Sapkowski (c’est une adaptation directe de la nouvelle Une Once d’abnégation) et accointances avec la série (Joey Batey et Anya Chalotra doublent respectivement Jaskier et Yennefer), ce melting-pot d’influences n’a aucune direction propre.
Au milieu de ce qui ressemble à une mauvaise fan fiction, l’animation extrêmement pauvre ne sauve rien, les couleurs terriblement ternes filent le bourdon, et les (énormes) incohérences de scénario donnent l’impression qu’une V1 écrite un lendemain de cuite a été validée sans relecture.
Et comment ne pas citer l’incroyable performance de Christina Wren, qui prête sa voix au personnage d’Essi et qui signe peut-être l’une des pires performances vocales de l’histoire de l’animation, en récitant l’intégralité de ses répliques exactement sur la même intonation (fausse, par-dessus le marché). Bref, Geralt s’est déjà fait traiter de tous les noms, dans sa vie, mais jamais n’avait-il encore été insulté de la sorte.
Captain America 4 : Brave New World
- Sortie : 12 février 2025
- Durée : 1h58
Ça parle de quoi ? Sam Wilson découvre qu’être Captain America n’est pas facile, surtout quand il représente un pays de gros débiles et un président corrompu (mais où vont-ils chercher pareille inspiration ?).
Pourquoi c’est l’un des Marvel les plus ronflants ? On savait que Captain America : Brave New World revenait de loin. Entre sa nature d’épilogue malhabile de la série Falcon et le Soldat de l’hiver et ses nombreux reshoots, Marvel a tout fait pour rectifier le tir d’une stratégie qui n’a cessé de décevoir ces dernières années. Résultat, le long-métrage est l’exemple parfait du verre d’eau tiède fait blockbuster, plombé par une progression des plus évidentes, spoilée dès les bandes-annonces.
Pourtant, avec son contexte politique trouble, et l’envie de faire du président Thaddeus Ross (Harrison Ford) l’autre personnage principal, il y avait quelque chose à raconter sur ce Captain America Noir, qui s’interroge sur la valeur du symbole qu’il arbore et sur sa responsabilité dans le gouvernement actuel. Mais Anthony Mackie se privera bien de prendre une quelconque position (et même de ressentir des émotions) dans ce faux thriller chiant comme la mort et particulièrement laid, surtout lorsqu’il se transforme en énième foire aux CGI désincarnés.
The Gorge
- Sortie : 14 février 2025 (sur Apple TV+)
- Durée : 2h07

Ça parle de quoi ? D’un super pitch de film d’horreur (deux soldats sont piégés dans une mystérieuse gorge top secrète, qui abrite des créatures cauchemardesques parmi d’autres secrets) qui a donné une grosse guimauve (ils sont tellement amoureux qu’elle va aller le chercher, et ils vont tout faire pour survivre et pouvoir ken).
Pourquoi c’est à vomir dans sa bouche ? On n’avait pas vu une telle douche froide depuis le « Ice Bucket Challenge » en 2014. Comment le solide réalisateur Scott Derickson (Sinister, L’Exorcisme d’Emily Rose, Black Phone) a t-il pu foirer à ce point une si bonne idée ? Surtout en embarquant les talentueux Anya Taylor-Joy et Miles Teller ? C’est simple : The Gorge ressemble à un film de Paul W.S. Anderson, si le réalisateur de Resident Evil avait essayé de faire sa version d’Annihilation, en plus d’un hommage vibrant à Love Actually et Dirty Dancing. Avec le scénariste Zack Dean (Fast X, The Tomorrow War) histoire d’aller tout au fond du trou.

Le pire : même en acceptant que The Gorge ne soit pas le pur film d’horreur et d’aventure dont on rêvait, même en digérant la romance de Barbie et Ken militaires, ça reste effroyablement naze. Et avec sa mythologie à la mord-moi-le-noeud contée comme dans un joyeux nanar (Sigourney Weaver en grande méchante à perruque, la vieille bobine de film qui explique toute l’histoire, les Marcheurs Blancs version The Green Knight…), cette production Apple TV+ ne cesse de surprendre de la pire des manières. La scène avec la jeep à flanc de falaise aurait pu nous avoir, mais l’épilogue qui donne envie de vomir ses trois derniers repas nous a achevés.
The Electric State
- Sortie : 14 mars 2025
- Durée : 2h08
Ça parle de quoi ? Dans les années 90 d’un monde alternatif où une guerre avec des robots géants a traumatisé le peuple américain mais pas ses meilleurs coiffeurs, une adolescente part à la recherche de son frère disparu avec un robot mystérieux.
Pourquoi c’est naze ? Les options de réponse sont simples. Parce que c’est Netflix ! Parce que c’est les frères Russo ! Parce que c’est leurs scénaristes habituels de chez Marvel, Christopher Markus et Stephen McFeely ! Parce que c’est Millie Bobbie Brown et que tout le monde la déteste ! Parce que c’est Chris Pratt ! C’est sûrement à cause de tout ça, mais surtout de l’ambition cynique : avec son budget ahurissant estimé à 320 millions, The Electric State a absolument été conçu comme un giga-test, pour voir si un film de streaming pouvait devenir un véritable événement de cinéma. En l’occurrence : non.
Et c’est moins la faute du streaming que du film lui-même, adaptation grossière le livre de Simon Stålenhag qui régurgite 1/4 de la filmographie de Steven Spielberg avec la même ampleur qu’une trend TikTok. The Electric State représente sûrement le sommet d’une certaine idée du cinéma (des contenus) et du public (des veaux) à l’ère du streaming : c’est un feu d’artifice de rien du tout, qui coche tellement tous les cases que ça ressemble finalement à une liste de courses décorée de perruques et de robots. Et la débauche de moyens est inversement proportionnel à la durée de vie de ce machin dans la mémoire des gens qui l’ont vu.
Blanche-Neige
- Sortie : 19 mars 2025
- Durée : 1h49
Ça parle de quoi ? Une jeune princesse qui chante beaucoup veut tenter de reconquérir son royaume après que sa dictatrice de marâtre a essayé de la faire tuer.
Pourquoi c’est une pomme pourrie jusqu’au trognon ? Tout le monde s’y attendait, mais comment ne pas inclure cette formidable croûte dans notre flop 2025 ? Tout a déjà été dit en matière d’arguments (justifiés ou pas) pour descendre Blanche-Neige, mais il a pourtant bien sa place ici tant il a fait souffrir les membres de la rédaction qui sont allés le voir (les autres ayant probablement un instinct de survie plus développé, rendez-vous à l’apocalypse pour en juger).
Avant condamnation, rappelons tout de même les faits : Blanche-Neige s’est rendu coupable d’être un énième remake live-action opportuniste de Disney, sans aucune sincérité ni intention artistique. Il a aussi fait l’objet d’un concours de nullité d’une violence absolument inouïe entre les effets numériques étalés au doigt et le jeu absolument catastrophique des acteurs. Mesdames et messieurs les parties civiles, faut-il aussi rappeler le fameux problème des nains ?
Ces êtres soi-disant magiques (qui utilisent la magie pendant 5 secondes de film) que Disney a choisi de représenter tout en CGI plutôt que d’employer des acteurs de petite taille ? La peur de la stigmatisation s’est tout simplement changée en insulte pure et dure, et la cour comprendra que lorsqu’on veut se parer d’un vernis progressiste, celui-ci craquèle systématiquement lorsqu’il n’est appliqué que pour les apparences. La liste est encore longue, mais il est temps de laisser la parole à la défense… Personne pour venir à la barre ? Non ? Tant pis !
Minecraft
- Sortie : 2 avril 2025
- Durée : 1h41
Ça parle de quoi ? D’une bande de bras cassés qui découvrent un monde cubique où règnent un enfant de 45 ans et une méchante reine des cochons.
Pourquoi c’est carré-ment infernal ? Parce qu’il y avait dans Minecraft tous les ingrédients pour un blockbuster foisonnant et imaginatif. Mais c’était sans compter le cynisme hollywoodien, qui a préféré balancer un tas de références en vrac dans une intrigue passe-partout et cimenter le tout à coups de voix off. Le niveau de mépris pour le jeu de Notch est parfois hallucinant : en deux heures, nos valeureux héros auront tout juste le temps de construire une bicoque et une tour. Un comble quand on sait le niveau de créativité des joueurs (par ailleurs mentionné dans l’atroce exposition).
Non content d’insulter quiconque n’a pas encore eu les neurones grillés par Tik Tok, le film Minecraft a l’outrecuidance de défendre « la créativité » entre deux gesticulations de Jack Black. À ce stade, le réalisateur Jared Hess et son casting (enfin, celui qui sert à peu près à quelque chose, donc le trio masculin) se paient sciemment nos têtes. Un film sur la construction sans constructions et un film sur la créativité sans créativité : Warner est peut-être bien parvenu à synthétiser le néant hollywoodien pur. Depuis le temps qu’ils essaient…
Banger
- Sortie : 2 avril 2025
- Durée : 1h30

Ça parle de quoi ? Scorpex est un DJ en perte de vitesse depuis plusieurs années, jusqu’au jour où il pourrait retrouver sa gloire d’antan lorsqu’une agente de la DGSI le recrute pour faire tomber Vestax, son jeune rival en pleine ascension.
Pourquoi c’est pas du tout une big masterclass ? Il y a un syndrome de plus en plus répandu dans le cinéma de plateforme (et en général) : ce besoin bizarre d’être cool, ou plutôt de tenter d’être cool pour attirer un public « djeun’s ». Et c’est un peu le problème de Banger parmi une centaine d’autres, il ressemble à ce tonton boomer qui essaie par tous les moyens de s’intégrer aux conversations de sa nièce en sortant un maladroit JPP, demande à son neveu si ça va Gucci et se persuade qu’il a été le GOAT au dîner de famille alors qu’il a tout whip.
Il en résulte une succession de moments gênants dans un film dénué de toute ambition artistique (la mise en scène est inexistante) et sans grand intérêt, où Vincent Cassel joue carrément sa propre caricature. Difficile d’ailleurs de vraiment savoir ce veut faire le réalisateur So Me – et ancien graphiste du label Ed Banger Records – avec ce récit mêlant la comédie burlesque, la satire du monde de la musique et de la mode et une enquête policière. Ni fait ni à faire, et on se demande pourquoi/comment l’excellent Alexis Manenti a fini là-dedans.
Lilo & Stitch
- Sortie : 21 mai 2025
- Durée : 1h48
Ça parle de quoi ? « Ohana signifie famille, famille signifie que personne ne doit être abandonné, ni oublié. » – Lilo (ou Dominic Toretto)
Pourquoi c’est encore un remake insultant ? Par rapport à Blanche-Neige, dont le potentiel nostalgique était finalement assez faible, Lilo & Stitch avait tout pour attirer une nouvelle génération vers l’une des mascottes les plus rentables de Disney, tout en allant titiller les trentenaires en pleine descente de pop-corn (on sait de quoi on parle). Pour peu que l’extraterrestre continue de faire des bêtises, et que la dimension tragique du récit de Lilo et de sa sœur Nani reste présente, il y avait matière à faire un carton plein.
Pourtant, le cas de Lilo & Stitch est assez fascinant de médiocrité, puisque tous ses changements, même les plus anodins, privent le film de l’épure de son modèle, et surtout de son efficacité. Entre le rajout inutile de la voisine, les non-dits autour de la mort des parents de Lilo (sujet bien plus explicité et bouleversant dans la version animée), le remake tourne autour du pot de son cœur émotionnel, tout en précipitant certaines séquences attendues dans un montage aux airs d’edit Tiktok. A la fois trop long et rushé, le résultat final est comme coincé entre deux temporalités.
Shadow Force
- Sortie : 27 juin 2025 (sur Prime Video)
- Durée : 1h44 – pile le temps de faire une bonne sieste

Ça parle de quoi ? Kyrah et Isaac, les chefs d’un groupe de forces spéciales de la CIA appelé Shadow Force, ont enfreint une de leurs règles principales en tombant amoureux, les forçant à se séparer pour se protéger mutuellement. En réalité, le film raconte surtout la reconversion ratée d’Omar Sy en action man.
Pourquoi c’est une insulte au cinéma d’action ? Isaac (Sy) est censé être un super agent, qui se transforme en John Wick quand il enlève ses prothèses auditives – ne cherchez pas à comprendre pourquoi. La première fois qu’il tape des gens (et doit donc montrer au public l’étendue de ses compétences martiales hors norme), c’est filmé du point du vue de son gosse… qui ferme les yeux. Et quand il tape des gens pour la deuxième fois, on comprend pourquoi la première séquence ne filmait rien : parce qu’il n’y a rien à montrer, tout simplement.
Omar Sy s’impose en effet comme une grosse erreur de casting. S’il a joué en arrière-plan dans quelques films avec de l’action (Jurassic World en tête), l’acteur manque cruellement de crédibilité dans ce rôle de gros bras surentrainé. Il manque de vivacité, de technicité et de tout ce qui faut à un acteur pour briller dans ce registre exigeant. Même constat pour Kerry Washington, l’autre grosse erreur de casting (et tête d’affiche, dommage).
Le film réalisé par Joe Carnahan est donc globalement anémique, d’une mollesse impardonnable et surtout d’une radinerie sans nom côté action, ce qui est quand même dommage pour un film d’ACTION.
Y a-t-il un flic pour sauver le monde ? Suite totalement inutile 🍭👎
Évanouis réalisé par Zach Cregger une PURGE pire que LONGLEGS c’est possible.
Ouf, je suis content de n’avoir pas perdu mon temps (et mon argent) pour certains films de cette liste.
Pour Toutes pour unes et Blanche neige, les bandes annonces m’ont convaincues de ne pas y aller.
Pour Minecraft, je n’ai jamais joué au jeu, je n’ai donc pas les réf, mais en tant que blockbuster, je n’ai pas pu le terminer, par contre j’ai bien dormi, donc çà reste un bon souvenir.
Electric State est un désastre industriel, ou est passé l’argent de cette production? Pas dans le scénario ni les VFX en tout cas.
N’y aurait il pas une petite enquête à faire sur ces budgets qui explosent dans certains blockbuster ricain? Le résultat n’est ni à l’écran, ni dans l’écriture.
Quand je vois la qualité de production visuelle des House of the dragons ou Foundation, que l’on aime ou pas ces séries, elles coutent bcp moins cheres que ces blockbuster avec un résultat visuel supérieur.
Courage à Ecran large qui a du se taper tous ces films EN ENTIER pour faire une critique. 😉
Mon flop 10 2025 pour l’instant :
1) Dirty Angels
2) Drop Game
3) Hurry Up Tomorrow
4) Shadow Force
5) Cleaner
6) Ash
7) Babygirl
8) The Brutalist
9) Oxana
10) Blanche-Neige
Lol minecraft et lilo et Stich les pires films de l’anne. Vous la sortez d’où cette info. Minecraft était proche du millards au box office mondial en mai et lilo et stich près de 800 millions. C’est loin d’être des flops. Au contraire, ce sont l’un des plus gros succès 2025 au box office mondial
La seule liste dont on peut être fier de n’avoir vu aucun des films qui la compose.
Hurry Up Tomorrow ne figure pas dans le flop ?
Peut être qu’un membre de la rédaction a mis son veto, ou alors je en comprend rien au cinéma.
Ou bien les 3 films présent dans ce flop que je n’ai. Pas vu sont pire… Je vous fait confiance, je ne vais pas vérifier par moi même.
Ma santé mentale vous remercie pour votre sens du sacrifice
Mon pire film de 2025 que j’ai pas aimé dans l’ensemble, c’est Final Destination Bloodlines. J’en ai vu aucun et lui, mais quelle déception ! Je n’aime vraiment pas le concept
Vous me faite rappeler oui j’ai vu THE GORGE , le casting Sigourney Weaver et Anya Taylor Joy et pourtant je n’ai pas accroché. Déjà oublié.
Deux films que je veux effacer de ma mémoire THE INSIDER pour insomniaque 😴 zzzzzzzz ce film est pour vous.
UNTIL DAWN mais pourquoi j’ai vu ce film ? J’étais avec un pote c’est lui qui choisit ce film il se reconnaîtra 😱 HORRIBLE.