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Casse-tête chinois : critique en Amérique

Par Sandy Gillet
19 avril 2023
MAJ : 11 décembre 2023
3 commentaires

En un peu plus d’une décennie, Cédric Klapisch a pondu six films dont la trilogie initiée en 2002 avec L’auberge espagnole. C’est grâce à celle-ci que le réalisateur du Péril jeune est arrivé à maintenir à flot une filmographie qui aurait pu prendre l’eau. Avec Casse-tête chinois, Klaspisch y puise-t-il l’inspiration de ses futurs travaux ou s’enferme-t-il dans un cinéma de la redite au plaisir certes immédiat mais dont l’intérêt et la force ne pourront aller qu’en s’amenuisant avec le temps ?

Photo Romain Duris

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Résumé

Casse-tête chinois aurait pu être le film dispensable de trop, il est au contraire le juste aboutissement d'une trajectoire amorcée il a deux films de cela.

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Tets

Au secours, le néant ce film. En plus c’est long. J’ai toujours pas compris la hype autour de ces daubes.

Cidjay

L’auberge espagnole… Le Péril jeune…
2 films profondément ancrés dans ma détestation des comédies dramatiques françaises.
L’excellence dans la façon de raconter des tranches de vies réalistes qui ne sont tout simplement pas ma façon d’apprécier le cinéma. Si j’aime le ciné, c’est pour me sortir de la réalité, de la banalité, et voir des choses que je ne pourrai pas voir dans ma vraie vie.
Mais je comprends que certains apprécient ce cinéma, certainement pour retrouver le réconfort de la vie de tous les jours, d’une vie normale.
Perso, pour ça, j’ai ma vraie vie. Klapisch aimerait certainement en faire un film, mais moi je trouve qu’elle est déjà assez chiante.

Joey Joe Joe Junior Shabadoo

L’auberge espagnole, c’était le film feel-good de tous les possibles.

Après, on revient sur la terre ferme, c’est plus cynique, ça ne fait plus rêver,