
Tale of Tales : critique
Chaque année le Festival de Cannes fait une victime. 2015 fut impitoyable pour le cinéma italien et notamment cette inclassable création.
Il était une fois trois royaumes voisins où dans de merveilleux châteaux régnaient rois et reines, princes et princesses : un roi fornicateur et libertin, un autre captivé par un étrange animal, une reine obsédée par son désir d'enfant... Sorciers et fées, monstres redoutables, ogre et vieilles lavandières, saltimbanques et courtisans sont les héros de cette libre interprétation des célèbres contes de Giambattista Basile.
Chaque année le Festival de Cannes fait une victime. 2015 fut impitoyable pour le cinéma italien et notamment cette inclassable création.
L'Italie pensait tout rafler sur la Croisette. Pas de bol la délégation transalpine est rentrée bredouille, au grand dam des journalistes italiens.
Le réalisateur de Gomorra revient sur la Croisette d'une façon inattendue.