Critique : Joshua
Dans toute l'histoire du cinéma
fantastique, les gamins maléfiques ou « juste » malfaisants ne
manquent pas. Du très connu Damien, en passant par Regan
Dans leur superbe appartement de l'Upper East Side, Brad et Abby Cairn célèbrent la naissance de leur deuxième enfant, Lily. Joshua, le grand frère, ne voit pas l'arrivée de sa soeur d'un bon oeil. D'une intelligence et d'une précocité rares, sa politesse et son calme apparent contrastent fortement avec son âge et masquent à peine la jalousie viscérale qu'il éprouve envers sa petite soeur.La vie de famille va peu à peu se fissurer. Entre les pleurs incessants de Lily et les travaux de rénovation de l'immeuble, entre l'étrange dépression postnatale d'Abby et les événements troublants que le couple va vivre, l'existence de rêve de la famille Cairn va virer au cauchemar.Est-ce le fruit du hasard, d'un redoutable concours de circonstances, ou sont-ils la proie d'un esprit maléfique et machiavélique, celui de Joshua ?
Dans toute l'histoire du cinéma
fantastique, les gamins maléfiques ou « juste » malfaisants ne
manquent pas. Du très connu Damien, en passant par Regan
Damien, Esther, Le Village des damnés, L'Exorciste, Les Révoltés de l'an 2000 : qui pourrait vous en vouloir si vous ne voulez pas d'enfants ?