Critique : Training day
Après deux mauvais films (le médiocre Un tueur pour cible a bien mal lancé la carrière US de Chow Yun-Fat ; quant à Bait, ceux qui ont acheté cet inédit en
Jake Hoyt est une nouvelle recrue de la police de Los Angeles. Décidé à devenir inspecteur, il sollicite une mise à l'essai de 24 heures auprès du sergent chef Alonzo Harris, un vétéran de la lutte antidrogue qui opère depuis douze ans dans les quartiers les plus chauds de la ville. D'emblée, Harris fait monter la pression, considérant Jake comme un gamin, raillant sa candeur et son inexpérience. Commencent alors une longue et périlleuse tournée à travers les bas-quartiers, les premiers contacts rudes avec les dealers et les informateurs, la découverte d'un monde trouble où Harris se meut en grand seigneur. Peu à peu, Jake apprend à connaître le policier : son cynisme et son jusqu'au-boutisme fanatique, qui les entraîneront dans des situations de plus en plus dangereuses.
Après deux mauvais films (le médiocre Un tueur pour cible a bien mal lancé la carrière US de Chow Yun-Fat ; quant à Bait, ceux qui ont acheté cet inédit en
Dix-huit ans après le film d'Antoine Fuqua, un prequel verra bientôt le jour chez la Warner avec un drame social bien réel pour toile de fond.
Et pour une fois, ce ne sera pas un remake ou un reboot. Même s'il n'y aura pas Denzel Washington.