Critique : Pathfinder
Souvent délaissé par les grosses productions, le film d’héroïc
fantasy tendance barbare se voit parer en quelques mois de deux projets ambitieux portés
Plus de cinq siècles avant que Christophe Colomb ne découvre officiellement l'Amérique, un drakkar viking aborda les côtes de ce continent sauvage. Entre les barbares du nord et les Indiens natifs, le choc fut effroyable, et seul un enfant viking survécut. Adopté par la tribu des Indiens Wampanoag, le jeune homme blanc désormais connu sous le nom de Ghost grandit et devint un redoutable guerrier.
Souvent délaissé par les grosses productions, le film d’héroïc
fantasy tendance barbare se voit parer en quelques mois de deux projets ambitieux portés
Après le remake de Massacre à la tronçonneuse, le réalisateur d'origine allemande Marcus Nipel se lance dans un opus barbare d'un autre genre, Pathfinder, scénarisé
Karl Urban, vu dans Les deux tours et Le retour du roi et plus récemment dans La mort dans la peau, est actuellement en pourparlers pour tenir le premier rôle