Critique : Cowboy
Dans la lignée du récent L'âge
des ténèbres de Denys Arcand, Cowboy est de cette nouvelle garde
de films qui traite de la perte des repères des trentenaires-quarantenaires.
Daniel Piron a le blues. Son couple est monotone, ses idéaux se sont envolés, même son travail de journaliste est une farce. La seule idée qui le galvanise encore est de retrouver et de filmer Tony Sacchi, héros révolutionnaire de sa jeunesse.A travers cette aventure, Daniel voudrait réhabiliter le jeune homme ardent et engagé qu'il était. Mais, hélas pour lui, Sacchi est devenu un gigolo cynique. Au bout d'une épopée tragi-comique, Daniel Piron finira-t-il par comprendre qu'il faut assumer ses désillusions pour se retrouver ?
Dans la lignée du récent L'âge
des ténèbres de Denys Arcand, Cowboy est de cette nouvelle garde
de films qui traite de la perte des repères des trentenaires-quarantenaires.