Critique : Basic instinct 2
Misère, misère.
Psychiatre londonien réputé, le Dr. Michael Glass est le meilleur dans son domaine. Lorsque le commissaire Roy Washburn lui demande d'évaluer psychologiquement une femme mêlée à la mort mystérieuse d'un célèbre sportif, son univers bascule... Catherine Tramell est une romancière américaine, et les meurtres qu'elle dépeint dans ses romans se réalisent de plus en plus souvent dans la vie réelle. Entre elle et le Dr. Glass, l'attirance est immédiate. Glass est intrigué par cette superbe femme qui réveille ses instincts les plus sombres. Piégé dans un jeu qu'il croit maîtriser, fasciné par sa beauté, il transgresse peu à peu toutes les limites qu'il s'était fixées. Alors que les meurtres frappent de plus en plus près, un face-à-face sans pitié s'engage entre le psychiatre et cette femme aussi séduisante que redoutable...
Misère, misère.
La suite du film culte Basic Instinct de Paul Verhoeven est un ratage terrible.
Si vous pensez que l'unique événement du week-end à Hollywood est la cérémonie des Oscars, détrompez vous car il faut aussi compter sur les casseroles d'Hollywood
Avec seulement 37 218 entrées le premier jour en France, on ne peut pas dire que Basic instinct 2 remporte son pari, loin s'en faut. La moyenne par copie (639 en