
Creep : critique zigouille dans le métro
Participant au renouveau d'un cinéma d'horreur renouant avec une vision plus respectueuse du genre (il est loin désormais le second degré et la gaudriole des
Londres, par une froide et triste nuit d'hiver...A minuit, au sortir d'une soirée chic copieusement arrosée, Kate guette vainement un taxi avant de se résoudre à prendre le dernier métro. Sous l'effet de l'alcool, la jeune femme ne tarde pas à s'assoupir.A son réveil, la rame est déserte... Affolée, Kate se dirige vers la sortie, mais les grilles sont déjà fermées. Un train s'arrête alors, elle y monte, quelque peu inquiète d'en être la seule occupante.Au beau milieu du tunnel, le convoi s'arrête brutalement, toutes les lumières s'éteignent... Et le cauchemar commence...
Participant au renouveau d'un cinéma d'horreur renouant avec une vision plus respectueuse du genre (il est loin désormais le second degré et la gaudriole des
Christopher Smith est un grands chefs d'orchestre de la trouille. Pour la sortie en France du ténébreux Banishing – La Demeure du mal, on décortique son cinéma.
Un bon petit film d'horreur à suspense dans le genre du très bon Haute tension, d'Alexandre Aja, ou encore Anatomie, avec Franka Potente, ça vous tente ? Ça