Critique : Super Nacho
Soyons tout de suite bien clair : les qualités purement cinématographiques de Super Nacho sont loin de donner le tournis. Tourné comme un piètre film de touriste
Orphelin, Nacho a passé sa jeunesse dans un monastère mexicain avant d'en devenir le cuisinier. Mais ses dons laissent fortement à désirer, et l'on ne compte plus les crises de foie et turistas imputables à sa cuisine et aux minables ingrédients dont il use. Nacho a compris que le plus sage serait d'acheter de meilleurs produits - et pour cela de commencer à se faire de l'argent. Il donnerait ainsi un peu de bonheur à ses chers orphelins, et aurait peut-être une chance d'impressionner son idole, la délicieuse et innocente novice Encarnación. Une idée audacieuse germe bientôt dans sa tête : se lancer en grand secret dans une carrière de lutteur masqué. Faisant équipe avec le filiforme Esqueleto, Nacho se découvre un talent insoupçonné pour la Lucha Libre. Il a enfin trouvé sa vocation, le voici prêt à affronter les plus grands lutteurs de son pays...
Soyons tout de suite bien clair : les qualités purement cinématographiques de Super Nacho sont loin de donner le tournis. Tourné comme un piètre film de touriste
Il y a des films dont on se demande bien pourquoi ils existent. Alors qu'on ne l'attendait pas du tout, voilà que Shanghai Kid revient. Encore.
Jack Black dans le rôle du justicier masqué d'une bourgade mexicaine ! Non, il ne s'agit pas du troisième volet de Zorro mais de Nacho libre par le réalisateur