Dan Trachtenberg, le réalisateur de Predator : Badlands, a dévoilé deux de ses influences majeures pour son prochain film, qui sentent bon la nostalgie des années 70-80.
Galvanisé par le succès critique et public de Prey, réalisé par Dan Trachtenberg en 2022, et le gros carton d’Alien : Romulus, Disney semble bien décidé à capitaliser sur le regain d’intérêt pour ses monstres cultes des années 80. Du côté d’Alien, la saga se poursuivra cet été sur Disney+ avec la série Alien : Earth. Pour Predator, la franchise vient de recevoir une anthologie animée avec Predator: Killer of Killers, et Dan Trachtenberg pense déjà à un avenir lointain avec un projet live Predator encore à l’état embryonnaire.
Mais le plus concret à ce jour reste Predator : Badlands, attendu pour la fin 2025. Porté par Dimitrius Schuster Koloamatangi dans le rôle du Yautja Dek et Elle Fanning en tant que Thia, une androïde Weyland-Yutani, le film reste très discret sur son scénario, mais Dan Trachtenberg a cité deux références étonnantes pour son Predator : Conan le Barbare et Mad Max.

Horo Predator Badlands
Dans une interview exclusive accordée à Empire, Dan Trachtenberg a expliqué qu’il avait pensé le héros de Predator : Badlands comme un personnage tout droit sorti des films d’action musclés des années 80. Bien que Dek, ledit héros, soit considéré comme le paria de sa tribu, comme « l’avorton de la portée » pour reprendre les termes du réalisateur, il n’en sera pas moins redoutable. Dek sera un protagoniste taciturne, dans la lignée de Conan le Barbare et de Mad Max.
« C’est un homme peu loquace, plutôt direct. Il va droit au but. Au sens propre comme au sens figuré. »
On prend évidemment les références aux films cultes de Schwarzenegger et de Mel Gibson comme un beau trait d’humour, étant donné que les Yautja ne sont pas particulièrement réputés pour de longs dialogues shakespeariens au sein de la saga.

Pour le réalisateur, tout le défi de Predator : Badlands est d’amener le public à se ranger aux côtés de Dek, bien qu’il fasse partie d’une race de tueurs sanguinaires :
« C’est une idée originale, pas seulement dans Predator, mais dans la science-fiction en général. Dans la plupart des univers de SF, les « créatures » sont soit les méchants, soit des acolytes. Dans Badlands, c’est : « Et si vous étiez aux côtés de la créature, dans cette mission folle pour faire ses preuves, en voyant tout à travers ses yeux ? » »
Au passage, Trachtenberg a confirmé que l’image livrée en exclusivité chez Empire (ci-dessus) montrait Dek, sur la droite, et que c’était son frère qui tenait le sabre, prêt à le décapiter. Ce qui laisse deviner une bien belle entente familiale, et de futures joyeuses retrouvailles (non).

Pour en revenir à l’approche du langage et au côté loquace de Dek, dans une interview donnée à Comicbook.com le réalisateur avait expliqué que son héros parlerait un dialecte inédit, spécialement conçu pour le film :
« Nous avons donc décidé de le faire de manière intentionnelle et avons entièrement développé le langage, de sorte que tout ce qu’il dit obéit à de véritables règles, une structure, tout ce genre de choses. Aussi bien à l’écrit qu’à l’oral. Très tôt, nous avons fait des explorations, des concepts artistiques, pour imaginer ce que pourrait être le Yautja.
Il pourrait y avoir une attente, en entendant le pitch, que le film soit centré sur le fonctionnement interne de la culture Yautja – ce n’est pas le cas. On voulait que ça reste un film de genre, très précis. »
Predator : Badlands arrivera dans les salles françaises le 5 novembre 2025. Quant à l’anthologie animée Predator : Killer of Killers, elle est disponible depuis le 6 juin sur Disney+.
Bref, j’ai pas d’idées et je fais n’importe quoi en mélangeant 2 univers qui n’ont rien à voir…
Next.
ça a surtout l’air d’être un foutu jeu video.
N’ayant pas aimé ses 2 dernières propositions, il y a peu de chance que je donne une chance à celle-ci