Ant-Man : Peyton Reed revient sur ses critiques du premier film

Hier, on vous parlait du tout premier opus d’Ant-Man et de son vilain, Yellowjacket. Comme quoi, parfois il vaut mieux garder sa langue dans sa poche.

Peyton Reed devient une nouvelle victime en subissant un revers de médailles pour ses propos et qui s’exprimera sans doute avec plus de prudence à l’avenir. Pourquoi ? Parce que ce mardi, on vous rapportait l’information selon laquelle Peyton Reed, le réalisateur d’Ant-Man avait déclaré lors d’une interview au site américain Io9 ne pas être fan du vilain : Yellowjacket.

Selon lui, le méchant du film ressemblait à « un vestige d’une ancienne ère ». Comprenez ici, que le cinéaste trouvait le look de Yellowjacket un peu trop démodé, lui reprochant de ressembler beaucoup trop au principal héros du long-métrage en étant « un antagoniste qui a des pouvoirs similaires à celui du héros. »

En route pour recasser des têtes

Il semblerait finalement que le réalisateur d’Ant-Man et la Guêpe se soit rétracté. Comme Internet le fait si bien, sitôt une information dévoilée elle est immédiatement propagée (et déformée) à travers toute la toile. Il n’a donc pas fallu très longtemps au principal intéressé pour se faire retrousser les oreilles hors-caméra et publier sur son compte Twitter un petit démenti :

There have been a couple of clickbaity headlines claiming that I’m not a fan of Yellowjacket, the villain in ANT-MAN.

For the record: I LOVE Yellowjacket! I LOVE Darren Cross, I LOVE Corey Stoll’s performance, and I LOVE the design of the character.

Thank you for listening.

— Peyton Reed (@MrPeytonReed) 3 juillet 2018

« Il y a eu deux ou trois titres « putes à clic » prétendant que je ne suis pas un fan de Yellowjacket, le vilain dans Ant-Man.

Pour votre information : j’ADORE Yellowjacket ! J’ADORE Darren Cross, j’ADORE la performance de Corey Stoll dans le rôle, et j’ADORE le design de l’antagoniste.

Merci de m’avoir écouté. »

Voilà qui est dit et si ce n’est pas clairement un pied de nez et une petite pique à la presse, on ne sait pas ce que c’est. En tout cas, Peyton Reed a le droit de défendre ses chouchous bec et ongles, même si sur la production du premier opus d’Ant-Man, il aura remplacé Edgar Wright, et aurait sans doute aimé apporter un peu plus sa patte.

Prenez tous ça dans vos dents, bien fait.