Christina Ricci en images : actrice caméléon

Jean-Noël Nicolau | 9 avril 2008
Jean-Noël Nicolau | 9 avril 2008

Dans Pénélope elle porte un groin à la place du nez, mais pour Christina Ricci ce n’est finalement qu’une métamorphose de plus. De la petite fille pas sage à la jeune femme imprévisible, brune ou blonde, l’actrice a montré qu’elle peut se fondre dans tous les personnages. Avec une préférence pour les demoiselles étranges, déjantées, « borderline », mais aussi avec beaucoup d’humour, à même pas 30 ans, Christina Ricci s’est déjà forgée une filmographie des plus consistantes. Ses rôles marquants… en images.

 

 

 

1990 : Les Deux sirènes. Première apparition sur grand écran de la toute jeune Christina (à peine 10 ans). Aux côtés de Cher et de Winona Ryder, elle se fait déjà remarquer.

 

 

 

1991 : La Famille Adams. Premier rôle d'importance et culte immédiat. En Mercredi, Christina Ricci devient une icône gothique et surprend par sa maturité. 

 

 

 

1995 : Casper. On est ici dans l'exploitation de l'image de l'actrice, cantonnée au fantastique pour mômes. 

 

 

1997 : The Ice storm. Chez Ang Lee, Christina grandit et s'affranchit des oripeaux qui commençaient à l'engoncer. 

 

 

1998 : Buffalo '66. Pour beaucoup de spectateurs, c'est en blonde et chez Vincent Gallo que Christina Ricci gagne ses galons de grande actrice. 

 

 

1998 : Pecker. Christina redevient brune dans le charmant petit film de John Waters.  

 

 

 

1999 : Sleepy Hollow. Tim Burton et Christina Ricci étaient faits pour se rencontrer. Retour à la quintessence gothique et contre-emploi pour l'actrice, blonde et éthérée.

 

 

 

2000 : The Man who cried. Retrouvailles immédiates avec Johnny Depp. Occasion manquée avec ce film ambitieux mais décevant.

 

 

2001 : Prozac nation. Christina se met à nue dans ce qui reste la scène la plus mémorable de ce film malheureusement loin d'être à la hauteur de l'actrice. 

 

 

 

2003 : Anything else. Comme tout comédien d'importance à Hollywood, Christina fait un arrêt par la case Woody Allen. 

 

 

2003 : Monster. Prestation intense pour la fragile Christina, mais elle se retrouve éclipsée par la performance de Charlize Theron. 

 

 

 

2005 : Cursed. Le nanar magnifique de la filmographie de l'actrice. Elle n'y fait pas grand chose et semble désolée de sa participation. 

 

 

 

2006 : Black snake moan. Christina, enchaînée, s'investit corps et âme dans cette histoire à la limite du sordide. Plus érotique que jamais, elle vole presque le film à Samuel L. Jackson. 

 

 

2008 : Pénélope. Deux ans après son tournage, le film sort en salles en France. La comédienne y renoue avec un fantastique léger qui lui va plutôt bien. Et la métamorphose physique y est la plus frappante de sa carrière... 

 

 

2008 : Speed racer. Blockbuster expérimental ? Dessin animé live ? Jeu vidéo sans les manettes ? En tout cas, il nous tarde d'apprécier la performance, très prometteuse, de la belle Christina.

 

 

 

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