
Les Minions : critique jaune banane
Les Minions est un dispensable spin-off de Moi, Moche et Méchant. Sympa pour les petits, regardable mais oubliable pour les grands.
A l'origine de simples organismes monocellulaires de couleur jaune, les Minions ont évolué au cours des âges au service de maîtres plus abjectes les une que les autres. Les disparitions répétitives de ceux-ci, des tyrannosaures à Napoléon, ont plongé les Minions dans une profonde dépression. Mais l'un d'eux, prénommé Kevin, a une idée. Flanqué de Stuart, l'adolescent rebelle et de l'adorable petit Bob, Kevin part à la recherche d'un nouveau patron malfaisant pour guider les siens.
Nos trois Minions se lancent dans un palpitant voyage qui va les conduire à leur nouveau maître : Scarlet Overkill, la première superméchante de l'histoire. De l'Antarctique au New York des années 60, nos trois compères arrivent finalement à Londres, où ils vont devoir faire face à la plus terrible menace de leur existence : l'annihilation de leur espèce.
Les Minions est un dispensable spin-off de Moi, Moche et Méchant. Sympa pour les petits, regardable mais oubliable pour les grands.
Alors que des trillions d’enfants et de trentenaires à la dérives les adulent, une question essentielle se pose. Peut-on encore chier sur les Minions ?
Même si Les Minions 2 n'est pas le plus gros carton de la franchise Moi, moche et méchant, ce nouveau volet fait parti des plus gros succès de 2022.
Ils parlent toujours en charabia, sont toujours débiles et jaunes et vont une nouvelle fois s'attirer de gros ennuis dans le prochain film Minions 2.