
Jack Reacher : critique
Avant de débarquer sur grand écran
distribuer tatanes et autres manchettes, Jack Reacher est le
personnage fétiche de Lee Child. Statue impassible, dépourvue
Lentement, méticuleusement, un sniper armé d'un fusil à lunettes repère ses victimes au sein de la foule affairée d'une grande ville. Il tire six fois, abat cinq personnes. Arrêté, interrogé, apparemment clairement responsable du carnage, l'homme n'avoue pas. Il ne prononce qu'une seule phrase lors de son interrogatoire : «Trouvez Jack Reacher». Et Reacher, justement, est perturbé par cette affaire dont la résolution lui semble trop simple. Il connaît le tireur, un militaire surentraîné, et sait que jamais, il n'aurait raté une de ses cibles. Avec l'aide d'une avocate, Helen Rodin, Reacher va mettre le nez dans un imbroglio aux allures de complot explosif...
Avant de débarquer sur grand écran
distribuer tatanes et autres manchettes, Jack Reacher est le
personnage fétiche de Lee Child. Statue impassible, dépourvue
Parce qu’on ne peut pas faire de clef de bras à son patron ni broyer la mâchoire du premier malandrin venu, le cinéma d’action existe.
Le destin de la franchise Jack Reacher semble entendu et plutôt désespéré. Malgré son désir d’en faire un héros bourrin et violent.
Grâce à (ou à cause de) Tom Cruise, nous ne verrons jamais Dwayne Johnson camper un personnage bien connu du public et on ne s'en porte vraiment pas plus mal.