Critique : La Sainte victoire
Président avec Albert Dupontel, Le Candidat avec Yvan
Attal... faut-il remonter à 1969 et Z
de Costa-Gavras pour trouver un bon film sur la politique en
Xavier Alvarez est un petit architecte d'Aix-en-Provence en recherche perpétuelle de reconnaissance sociale. Il s'est fait tout seul et prospère, mais ne parvient pas à décrocher de gros marchés publics pour assouvir ses rêves de grandeur. Il décide donc de se lancer corps, âme et biens dans la campagne de Vincent Cluzel, le candidat outsider à la mairie, persuadé qu'il renverra l'ascenseur en cas de victoire. À force d'énergie et de ruse, il parvient à discréditer le favori et à faire élire son protégé. Mais leur amitié sincère, nouée dans la conquête du pouvoir, se heurte alors aux limites des intérêts et de l'ambition.
Président avec Albert Dupontel, Le Candidat avec Yvan
Attal... faut-il remonter à 1969 et Z
de Costa-Gavras pour trouver un bon film sur la politique en