Critique : 24 city
Rosselini aura laissé de beau reste. Jia Zhang Ke serait
sans doute son meilleur élève. 24 City suit le lent délitement
d'une usine d'armement appelée à
Critique - Film
02/06/2008
Chengdu, aujourd'hui. L'usine 420 et sa cité ouvrière modèle disparaissent pour laisser place à un complexe d'appartements de luxe : "24 City". Trois générations, huit personnages: anciens ouvriers, nouveaux riches chinois, entre nostalgie du socialisme passé pour les anciens et désir de réussite pour les jeunes, leur histoire est l'Histoire de la Chine.
Rosselini aura laissé de beau reste. Jia Zhang Ke serait
sans doute son meilleur élève. 24 City suit le lent délitement
d'une usine d'armement appelée à