
Apocalypto : critique amazonienne
Mel Gibson s'intéresse cette fois aux peuples amérindiens dans Apocalypto.
Dans les temps turbulents précédant la chute de la légendaire civilisation Maya. Jeune père porteur de grandes espérances, chef de son petit village, Patte de Jaguar vit une existence idyllique brusquement perturbée par une violente invasion. Capturé et emmené lors d'un périlleux voyage à travers la jungle pour être offert en sacrifice aux Dieux de la Cité Maya, il découvre un monde régi par la peur et l'oppression, dans lequel une fin déchirante l'attend inéluctablement. Poussé par l'amour qu'il porte à sa femme, à sa famille et à son peuple, il devra affronter ses plus grandes peurs en une tentative désespérée pour retourner chez lui et tenter de sauver ce qui lui tient le plus à cœur.
Mel Gibson s'intéresse cette fois aux peuples amérindiens dans Apocalypto.
Peut-être le plus radical des films de Mel Gibson, au cœur d'une guerre critique sans précédent, Apocalypto reste un objet absolument unique à Hollywood.
S'il n'a pas connu le même succès que Braveheart ou La Passion du Christ, Apocalypto demeure peut-être le plus fort réalisé par Mel Gibson.
Ca fait toujours plaisir de voir que certaines choses ne changent pas : le retour du printemps, l'heure d'été et la mauvaise humeur de Mel Gibson.