Critique : Casshern
Attendu avec passion par « geeks » et autres « nerds » toujours à l'affût de ce que le Japon peut fournir dans le domaine de la SF, Casshern débarque enfin
Dans un futur apocalyptique, une expérience scientifique aboutit à la création d'êtres aux pouvoirs extraordinaires, immédiatement massacrés par des unités militaires. Seul un groupe survit. Les créatures humanoïdes décident de se venger de toute l'humanité à l'aide d'une armée de robots. Pour contrer leurs plans de destruction, le responsable de leur création accidentelle plonge le corps de son fils défunt dans la même solution liquide qui aboutit à la naissance de la race des mutants. Revenu d'entre les morts, Tetsuya Azuma est le dernier espoir de l'humanité...
Attendu avec passion par « geeks » et autres « nerds » toujours à l'affût de ce que le Japon peut fournir dans le domaine de la SF, Casshern débarque enfin
La sensation du dernier marché international du film de Cannes, en cette année 2004, venait une fois de plus d'Asie. Après le choc thaïlandais que fut Ong-Bak