
Le Jour d'après : critique
En cette année 2004 vierge de tout Michael Bay (Bad boys 2 l'an passé, non merci !), c'est Roland Emmerich qui prend le relais.
Le climatologue Jack Hall avait prédit l'arrivée d'un autre âge de glace, mais n'avait jamais pensé que cela se produirait de son vivant.Un changement climatique imprévu et violent à l'échelle mondiale entraîne à travers toute la planète de gigantesques ravages : inondations, grêle, tornades et températures d'une magnitude inédite. Jack a peu de temps pour convaincre le Président des Etats-Unis d'évacuer le pays pour sauver des millions de personnes en danger, dont son fils Sam.A New York où la température est inférieure à - 20° C, Jack entreprend une périlleuse course contre la montre pour sauver son fils.
En cette année 2004 vierge de tout Michael Bay (Bad boys 2 l'an passé, non merci !), c'est Roland Emmerich qui prend le relais.
Universal Soldier, Stargate, Le Jour d'après : pourquoi Roland Emmerich est un parfait sous-Paul Verhoeven, en trois films.