
Meurs, monstre, meurs : critique turgescente
Meurs, monstre, meurs nous plonge dans un décor sauvage et reculé, où une série de tuerie vont révéler les tensions qui couvent au sein d'une petite communauté.
Dans une région reculée de la Cordillère des Andes, le corps d’une femme est retrouvé décapité. L’officier de police rurale Cruz mène l’enquête. David, le mari de Francisca, amante de Cruz, est vite le principal suspect. Envoyé en hôpital psychiatrique, il y incrimine sans cesse les apparitions brutales et inexplicables d’un Monstre. Dès lors, Cruz s’entête sur une mystérieuse théorie impliquant des notions géométriques, les déplacements d’une bande de motards, et une voix intérieure, obsédante, qui répète comme un mantra : “Meurs, Monstre, Meurs”…
Meurs, monstre, meurs nous plonge dans un décor sauvage et reculé, où une série de tuerie vont révéler les tensions qui couvent au sein d'une petite communauté.
Découvert en 2018 à Cannes, au coeur de la sélection Un Certain regard, c'est un an plus tard que Meurs, monstre, meurs débarque sur nos écrans.
C’est le 15 mai 2019 que sort Meurs, monstre, meurs réalisé par Alejandro Fadel. On vous explique en vidéo pourquoi il ne faut pas le louper.
C'est dans 10 jours que débutera la 9ème édition du Festival Même pas peur dont nous sommes partenaires. Il est temps de découvrir le programme.