Critique : L'Âge de glace
Si on y regarde de plus près, le carton au box-office de L'Âge de glace n'est pas surprenant (plus de 350 millions de dollars de recettes dans le monde), tant
Vingt mille ans avant notre ère, lorsque Scrat, un rongeur obstiné, fend la banquise et déclenche un nouvel Âge de Glace, une vaste cohorte de mammifères s'assemble et commence à émigrer vers le sud. Manny, un mammouth solitaire qui n'en fait qu'à sa tête, choisit d'aller vers le nord et se voit bientôt rejoint par Sid, un petit paresseux volubile en quête de protecteur. Ce dernier l'oblige bientôt à recueillir un bébé humain, Roshan, que sa mère leur a confié avant de mourir, et à ramener celui-ci à son père, chasseur nomade parti vers le nord. Sur leur chemin, les deux compères devront protéger Roshan de Diego, un tigre aux dents de sabre chargé par son chef Soto de capturer le bébé.
Si on y regarde de plus près, le carton au box-office de L'Âge de glace n'est pas surprenant (plus de 350 millions de dollars de recettes dans le monde), tant
C'est le moment de s'attaquer à une franchise d'animation culte des années 2000 : L'Âge de glace.
Une page se tourne dans l’histoire de l’animation : Disney, désormais propriétaire du studio Blue Sky (L’Âge de glace), a confirmé sa fermeture.
L'écureuil débile revient et met le monde en danger en se prenant cette fois au cosmos tout entier. Et tout ça, pour un gland.