Critique : Norbit
Après ses incursions fortunées dans le film pour enfants, Eddie Murphy se démultiplie à nouveau et revient au latex, à la perruque/prothèse et à l'humour
L'histoire de Norbit Albert Rice a tout d'un conte de fées. Recueilli et élevé par un vieux restaurateur chinois, Mr. Wong, ce gentil petit orphelin rencontre à huit ans la douce et jolie Kate, dont il tombe éperdument amoureux. Un cruel destin ne tarde pas à les séparer. A neuf ans, Norbit devient à son corps défendant le protégé de Rasputia. Après l'avoir arraché aux griffes de trois brutes, cette gamine méchamment musclée jette son dévolu sur lui. Craignant son redoutable crochet du droit, timide Norbit cède à ses avances et devient son petit ami.Les années passent, il épouse la mégère et tombe sous la coupe de ses trois abominables beaux-frères qui font régner la terreur dans toute la région. Cette histoire serait bien trop triste si Kate, plus radieuse que jamais, ne revenait en ville, bien décidée à lui donner une fin heureuse et à sauver Norbit, fût-ce malgré lui...
Après ses incursions fortunées dans le film pour enfants, Eddie Murphy se démultiplie à nouveau et revient au latex, à la perruque/prothèse et à l'humour
Norbit, le prochain film d'Eddie Murphy, continue de poser des problèmes de rating après que la MPAA ait rejeté l'appel de Paramount Pictures et Dreamworks qui
La blaxploitation a bien changé de visage depuis Shaft. La preuve avec cette comédie où Eddie Murphy assume une nouvelle fois la moitié des roles. L'acteur joue