X-Men : Wolverine, découvrez la raison WTF de l'abandon du Blob par David Harbour

Le choix d'un acteur pour un rôle dépend souvent du calendrier, du tournage ou parfois même de quelques kilos en trop... 

Si son nom vous est inconnu pour le moment, vous reconnaitrez forcément son visage. Découvert par le grand public en shérif patriarcal dans Stranger Things, David Harbour aura prochainement la lourde tâche de supplanter Ron Perlman dans la peau de l’enfant des enfers Hellboy : Rise of The Blood Queen de Neil Marshall.

 David Harbour

Après son rôle mineur dans Suicide Squad et le prochain Hellboy donc, l’acteur a failli rajouter une autre adaptation d’un comic book avec X-Men Origins : Wolverine. Le film, quoiqu’on en dise, avait marqué les esprits, mais pas forcément de la manière voulue. On ne va pas s’étendre sur la première adaptation foireuse de Deadpool sur grand écran ou sur les errances scénaristiques du long de Gavin Hood, mais on était ressorti de la séance franchement déçu, comme un arrière-goût d’adamantium rouillé dans la bouche.

 Le Deadpool du X-Men Origins : Wolverine

Bref, aujourd’hui on revient sur le personnage culte et ridicule du Blob. Incarné par le massif Kevin Durand, le rôle devait à l’origine échoir à David Harbour. La production recherchait alors un acteur massif pour porter le costume. Mais tout ne s’est pas passé comme prévu au moment d’essayer la combinaison du mutant comme il le déclare au micro de The Wrap :

"Au moment de porter le costume, ça coinçait au niveau du ventre. J’ai fait une blague dessus genre ‘Et bien vous l’avez votre Blob !’. Après les essais, ils m’ont rappelé et j’ai pu rencontrer le réalisateur. Et il était genre : 'David, tu es génial, tu es un très bon acteur mais on n’est embêtés'. Du coup je leur ai demandé ce qui n’allait pas, et il m’a dit 'C’est juste que quand tu as soulevé ton t-shirt, on a vu ton… Enfin, on s’inquiète de ta santé'". 

Harbour était donc trop gros pour enfiler le costume d’un personnage donc la particularité est d’être obèse. L’acteur indique que cela "fait partie des histoires d’Hollywood". 

David Harbour