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Netflix a dévoilé la nouvelle affiche de Sous la seine, la version parisienne des Dents de la mer avec Bérénice Bejo.
À mesure que les Jeux olympiques de Paris se rapprochent, la municipalité de la ville continue d’espérer que rien ne vienne entacher la tenue de cet évènement, même si on se demande comment tout pourrait se passer sans accroche. Il ne serait donc pas souhaitable qu’un requin géant se balade dans la Seine alors que toutes les caméras sont pointées sur la capitale.
C’est à peu près ce que cherche à nous proposer Sous la Seine, le prochain film de Xavier Gens distribué par Netflix. La première bande-annonce de Sous la Seine avait d’ailleurs été révélée par le N rouge début avril, et on était évidemment curieux concernant le projet, dont le postulat de base a tout pour attirer. Justement, une nouvelle affiche promotionnelle a été dévoilée par Netflix et elle n’est pas vraiment des plus rassurantes, d’autant qu’elle s’amuse évidemment du parallèle avec les J.O.
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Qui a envie d’ailerons ?
Sous la Seine et son affiche au-dessus du fleuve
Pour rappel, Sous la Seine raconte l’histoire de Sophia (Bérénice Bejo), une brillante scientifique découvrant la présence d’un gigantesque requin dans les eaux du fleuve, alors que Paris accueille au même moment les championnats du monde de triathlon. Avec l’aide d’Adil (Nassim Lyes), le commandant de la police fluviale, et de Mika (Léa Leviant), une jeune militante écologique, Sophia va tout faire pour éviter le bain de sang (littéralement).
Cette affiche nous montre l’énorme requin barboter dans la Seine (particulièrement bleue) parmi les nageurs du triathlon, tandis que des spectateurs plus qu’étonnés constatent la terrifiante situation. On se rend ainsi bien compte de la taille du monstre, à côté duquel les sportifs semblent véritablement minuscules.
Le film est donc réalisé par Xavier Gens, a qui l’on doit notamment Farang et 3 épisodes de la série Gangs of London, et il devrait nous emmener dans une ambiance bien oppressante, d’autant plus avec le contexte actuel des JO. On ne devra d’ailleurs pas trop attendre avant de pouvoir découvrir ce thriller des profondeurs, la sortie de Sous la Seine étant prévue pour le 5 juin prochain, et sur Netflix bien évidemment.
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@petitbiscuit
Un requin bouledogue aurait pu être crédible puisqu’il peut évoluer en eau douce et est responsable de nombreuses attaques sur l’homme. Cela aurait pu être intéressant plutôt qu’un énième énorme requin irréaliste.
Un peu comme pour Vermines où les araignées sont plus flippantes quand elles ont une taille crédible plutôt que sur la fin où c’est too much.
la SF à la française car penser ou imaginer qu’un poisson, dauphin, requin puisse remonter la seine fallait oser c’est comme si un asthmatique rentrait d’un wagon fumeur la gauloise dans les années 80.
Avec un financement qu’on imagine du CNC…merci les copains et les copines car le pitch aurait du suffire à recaler ce projet à la con pour utiliser les fonds publics.
J’incite au boycott de ce film qui stigmatise encore et toujours le grand squale comme un animal violent ! Il faut que ça cesse !
En vrai le problème du film c’est que c’est un pitch de nanard mais je sens que ça va terriblement se prendre au sérieux pour 4 plan avec le requin. Du coup perso ça me fait pas vraiment envie ! après la présence de Béjo peut rassurer mais bon
Tellement hâte, j’espère que la hype qu’a fait monter les derniers numéros de mad movies qui traitaient chaque mois d’un aspect du film ne va pas juste faire plouf
J’avoue que j’attends un peu ce film. Déjà, il y a des requins, ça ne peut donc pas être complètement mauvais, et puis on critique suffisamment la discrétion d’un certain cinéma de genre en France pour le pas se réjouir tels projets (au même titre par exemple que le récent « Vermines » avec ses araignées).
Et on ne sait jamais, ce peut être une bonne surprise. Après tout, « Peur bleue » est devenu un petit classique du film de requins avec un concept pas moins grotesque et des CGI approximatives.