À l'instar du français Indigènes, le quatrième long-métrage de Israel Adrian Caetano s'avère utile pour faire la lumière sur une page sombre de l'Histoire de l'Argentine, celle des arrestations arbitraires pendant la dictature militaire. Sur la forme, après une nerveuse, voire stressante arrestation, le film se pose dans un huis-clos parfois étouffant souvent ennuyeux. Cette phase de tortures à la fois physiques et psychologiques trouve pourtant un écho inattendu et fort lors de la fameuse fuite, où les hommes brisés se retrouvent nus sous la pluie à se comporter comme des bêtes apeurées.
Critique : Buenos Aires 1977
29 mai 2008
MAJ : 11 octobre 2018
Partager
Résumé
Vous aimerez aussi
Commentaires
Connexion
Veuillez vous connecter pour commenter
0 Commentaires
Le plus récent