Critique : Gloria
Couronné
de l'Ours d'Argent et du Prix de la meilleure actrice à la Berlinale de 2013,
le troisième film de Sebastian Lelio arrive à point nommé pour
A 58 ans, Gloria a une fille qu'elle a élevée seule. Sans homme dans sa vie, elle passe ses nuits dans les boîtes de Santiago. Un soir, Rodolfo l'aborde et c'est le début d'une folle passion. Alors qu'elle est en train de tomber amoureuse, elle découvre que son amant n'est finalement pas séparé de sa femme Susana. Refusant de jouer le rôle de la maîtresse, Gloria décide de quitter Rodolfo sur-le-champ. Lui veut poursuivre leur histoire, l'appelle au travail et la guette en bas de chez elle. Dépitée et ne sachant pas comment se débarrasser de cet homme qui l'a déçue, elle trouve du réconfort auprès de ses amies...
Couronné
de l'Ours d'Argent et du Prix de la meilleure actrice à la Berlinale de 2013,
le troisième film de Sebastian Lelio arrive à point nommé pour